jeudi 28 février 2013

295 L'art d'être vilaine

J’ai été vilaine !

Il m’arrive assez fréquemment d’avoir des très vilaines envies. Notamment quand j’accomplie une activité répétitive ou rythmique. Quand je cire le parquet, les meubles, les chaussures. Quand je frotte les carreaux, la baignoire, les assiettes. Quand je repasse du linge et plus précisément celle mon homme.  Sans parler quand je fais de la danse, du vélo et la gym. Voila, avec moi la vie est simple et s'érotise facilement. Étrange sensation qui me fait…rire. Avant tout intellectuellement. Parce qu’il y a de quoi alimenter le mythe de la ménagère qui prend son pied en effectuant certaines taches. Bien que le rire dans ce cas peut s’apparenter aussi à une névrose de conversion et exprimer selon Otto Fenichel une déformation de l’émoustillement sexuel. Cette idée (me concernant) me parait bien plausible et mon homme a compris depuis longtemps la signification profonde quand je rie bêtement. Au lieu de briser ma bonne humeur par une réflexion désobligeante, il adopte un comportement de plus entreprenant. Parfois commencé par des chatouilles. La gentille pique, il la sort dans d’autres contextes :

Elle adore repasser, isabelle. Elle arrête pas de rigoler…

Et moi je rajoute facilement une couche :

Fallait pas ?

Pour le dire tout de suite, un rapport entre fessée et vilaines envies ne me semble pas systématique. Il se peut selon mes humeurs que je souhaite que mon homme s'occupe de moi « en homme » sur le champs, comme il se peut que j'ai envie d'être vilaine pour me gagner une correction. Pour chercher des explications à ces phénomènes rien de plus simple. Concernant la première configuration, il est bien connu que l'activité rythmique musculaire provoque d'intenses émois que l'on constate dès la prime enfance. Tandis que l'enfant ignore ce que lui arrive subitement, l'adulte a dépassé l'ignorance tant qu'en cernant la nature du phénomène tant concernant le remède. La deuxième constellation n'est pas bien différente de la première. L'activité rythmique a pris la forme d'un symptôme névrotique et sert à la fois de défenses et de substituts d’activités masturbatoires. Quelle idées aussi de décider sur un coup de tête de cirer toutes les chaussures de notre ménage ? Effectivement la psychanalyse permet de prendre conscience de la signification inconsciente d'un acte, ce qui n’empêche pas de continuer à éprouver du plaisir. Seulement on devient en quelque sorte observateur bienveillant de notre propre comportement et on arrive à bien s'amuser de nos petites incohérences.

J’ai discuté avec plusieurs dames qui adorent être « vilaine » dans l’intimité avec leur partenaire et ce petit mot ne veut rien dire de plus pour elles qu’être active et mener la danse. En gros, un truc qui retourne à :

Laisse-toi faire chéri !

Je suis peu étonnée que le mot « vilaine » sort dans un tel contexte. A mes oreilles c’est plus poétique qu’un autre, beaucoup plus utilisé et commençant pas sal… et finit par ...ope. Le langage est révélateur. Nous sommes loin encore d’une société qui admet qu’une dame puisse se montrer entreprenante sans retenue et sans recevoir en contrepartie un mépris verbal de pas mal de personnes. Disons que nos mœurs récréatives auraient besoin d’un sérieux lifting.

Il y a quelque temps lors d’un repas entre amis une dame avait déduit à partir de mon faible monogame qu’il me manquait des « vilaines envies ». Mon homme, en train de boire tranquillement son café a failli s’étouffer. C’était spontané et pas pour le moins joué. Le pauvre ! Il a avalé son café à travers et moi en compagne de plus soucieuse, j’ai eu peur pour lui. Puis un regard de plus hostile de ma part envers la dame, responsable de l’état de mon chéri adoré. Un méchant regard seulement, car je suis « trop bien éduquée » pour laisser libre cours à ce qui me passe dans un tel instant dans ma tête. D’habitude les gros mots ce n’est pas trop mon truc, mais comme en d’autres domaines j’ai une grande facilité pour me laisser aller, être vilaine dans mon langage perso. Pour mon homme le non-dit d’être vilaine est tout autre. Confidence qui date du début de notre relation et qui concerne essentiellement mes éventuels plaisirs en solitaire et mes petites rêveries. En fait, sur ces points, qu’est-ce qu’il est curieux. Je suis toujours épatée après plus de 14 ans de vie commune comme le mystère de l’émoustillement féminin le travaille.

Évidement je pourrais chercher une explication à ses petites irrationalités. Mais je ne vois pas l’utilité. Au contraire je fais bon usage de ses confidences pour lui faire plaisir. Sans me forcer. Je me suis rendue compte qu’il fait bon vivre dans son petit monde, bourré de clichés adorables et j’y ai trouvé une place qui me convient. D’un côté je passe beaucoup de temps à lui « confesser » le moindre fantasme qui me traverse la tête. De l’autre côté, très expérimentale de nature, je ne manque jamais d’idées pour surprendre mon chéri. Active et toute au contraire de certaines femmes qui décrivent un univers d’attente passive, j’aime produire des frissons inattendus à mon chouchou.

Seulement ma morale intérieure n’est pas toujours en accord avec des libertés que je me prends. Et le fait de m’avoir comportée en « vilaine » la veille, se traduit le lendemain matin parfois par des fortes envies de discipline stricte… parfois par l’envie de recommencer aussitôt. Il n’y a rien de systématique, mais l’une variante comme l’autre enchante mon homme. Et moi aussi par la même occasion. Bref, on ne s’ennuie pas. Peut-être une raison valable pour la longévité de notre couple.

mercredi 27 février 2013

294 Petite révélation sur la fessée...


...que je trouve très éloquente !

Une belle trouvaille de l'ami Georges. Cet extrait provient également de l'article de Karl Steiner dont j'avais déjà parlé la semaine dernière et qui fut publié dans le défunt magazine « Club pour homme ». Contrairement au dernier extrait, pour cette fois-ci je suis plutôt d'accord avec l'auteur concernant le premier paragraphe.

Voyons d'abord ce qu'il nous raconte :

Chez les femmes, il est plus difficile d'expliquer une obsession des châtiments corporels ; et malgré tout ce que les hommes peuvent dire, malgré leurs fantasmes et ce qu'ils aimeraient croire, le nombre de femmes qui se font fesser et flageller de leur plein gré, et sans aucune autre raison que leur propre plaisir, est infime en comparaison des millions d'hommes qui ont une forte inclinaison dans cette direction. Si les femmes avaient autant d'envie de se faire fesser que les hommes, la plupart des prostituées seraient au chômage ! Mais il existe des femmes qui éprouvent du plaisir à fesser et à se faire fesser ; à fouetter et à se faire fouetter. Pourquoi ?

Selon des nombreux psychanalystes, la réponse réside dans la relation entre la mère et le fils et entre le père et la fille ; de même que dans toutes les relations hétérosexuelles lorsqu'une personne a un pouvoir d'autorité sur une autre comme par exemple, à l'école, dans un hôpital, dans une institution religieuse, etc.


Pour ma part je n'ai jamais parlé à une femme en chair et en os qui aime ce genre de jeu ou pratique seulement pour ce que l'on appelle platement le plaisir. Mais j'admets un horizon personnel bien limité et une absence de fréquentation de milieux branchés. Autant dire que je n'ai pas de copines non plus qui cherchent une relation vanille pour le plaisir. Mon expérience personnelle ne vaut alors pas grand chose pour avancer le sujet. Par contre dans les échanges concrets que j'ai eus à propos de la fessée avec des dames ayant un penchant en ce sens, il y a quasi unanimité sur le plaisir de recevoir quelques claques savoureuses dans certains contextes de la vie amoureuse. Mais là nous sommes loin d'une pratique intense et prolongée, de préférence la dame allongée sur les genoux du monsieur.

Il y a bien longtemps j'ai fréquenté quelques tchats et forums. Je garde un excellent souvenir quant aux personnes virtuellement rencontrées. Ici aussi, en discutant avec d'autres dames sur msn, pas de trace du fameux plaisir pur, par contre des souterrains riches et extrêmement complexes avec des très jolies fantaisies.

Ne nous voilons pas la face. Même si selon un récent sondage une française sur quatre a déjà essayé la fessée, il n'est pas dit pour autant que cela s'est fasse dans un but de pur plaisir. Je pense comme pour moi, il y a plutôt une motivation plus complexe qui cherche une satisfaction particulière.

Prenons l'exemple d'une femme de tête qui sait non seulement très bien ce qu'elle désire d'une relation, mais de plus le fait habituellement savoir clairement à son partenaire et qui aimerait expérimenter peut-être un total renversement (!) de la situation. Passer de l'actif au passif. Oxygéner son cerveau en se laissant faire... pour une fois. Abandonner sa position égalitaire les yeux dans les yeux pour se retrouver livrée aux yeux de monsieur sans pouvoir cerner ce qu'il regarde exactement. Vivre une situation de ne plus rien décider, de se faire plier avec détermination. Être regardée de haut pendant que sa propre tête penche vers le bas. En d'autres mots : renoncer à son statut habituel de femme phallique pour régresser à une analité du moins de surface par la peau de son derrière. Transgression moderne en quelque sorte en faisant ce qui est prohibé par la loi - fesser une dame - et la convention sociale : se faire fesser par un homme qui prête main forte à ladite transgression. Parfois pour pouvoir après mieux frimer devant ses copines :

Tu sais ce qu'il m'a fait ?

Rareté en soi déjà de nos jours. Tellement fixés sur le désir de la dame, beaucoup d'hommes n'osent plus grand chose de leur propre initiative. Et le rendez-vous galant et même l'acte devient le salon où l'on cause.
Au point de se sentir un peu maman (oh ouiii continue... ) et initiatrice (laisse toi faire...) à la fois au lit. C'est mignon, mais hélas le côté aventure manque. Alors vivement une belle correction qui résonne entre les murs !

Il m'a pliée sur son genoux et il m'a flanqué une bonne fessée sur mon derrière tout nu !

Effectivement on imagine. Et on frissonne pour sa copine. Notamment en connaissant bien ses alentour fantasmatiques et surtout ses comportements parfois odieux avec un monsieur trop gentil. Et c'est à se moment- là que prend naissance la vraie fessée pur plaisir dans le sens:

Bien fait pour elle !

mardi 26 février 2013

293 Sous les jupes des filles (3eme édition)


Un rouge à lèvres bien particulier...

...sensé pour l'usage chez les dames quand la partie génitale à perdu son éclat de jeunesse. Effectivement je suis épatée de la machine à créer des envies (inutiles!) qui tourne à plein régime. Que ne ferait-on pas pour stimuler la croissance ? Peu importe le domaine. Cela s'appelle My New Pink Button (Mon nouveau bouton rouge), un nom m'a tout de suite induite en erreur. J'avais mal cernée l'endroit exact où ce produit miracle s'applique et sans le moindre doute - un échantillon à la maison - poussée par ma curiosité, j'aurais fait une belle gaffe. De plus cela contient du gingembre, alors j'imagine l'effet ... très chaud. Le genre de brûlure dont je me passerais bien. Ils ne peuvent pas être plus précis ces gens qui inventent ce genre de produit. Notamment avec des femmes comme moi, bien tête en l'air et qui ne souhaitent pas passer des heures pour étudier la notice explicative.

Mon premier étonnement passé, j'ai fait quelques recherches sur le net et
mon émerveillement par l’ingéniosité de l'esprit humain trouve d'autre matière pour se réjouir. Il semble au premier aperçu s'agir d'avis de consommateurs. Véridiques ? Je doute fort, vu la nature des commentaires. Tout d'abord c'es tun monsieur ayant honoré sa femme qui se rend compte de l'effet de ce produit sur la partie la plus hardie de son anatomie. Madame a déteint pour le plus grand plaisir de monsieur qui retrouve ainsi la « fluorescence de sa jeunesse ». J'imagine bien la scène avec une dame fardée à l'outrance et un monsieur fluo qui brille dans la nuit.

Alors, bon question, pourquoi ne pas proposer cette coloration directement aux messieurs ? Pourquoi la dame devrait-elle faire le cobaye ? Un autre monsieur, vraisemblablement un grand amateur de belles mécaniques, après avoir « ciré » les parties intimes de sa dame, s'avoue également convaincu par cette trouvaille et regrette seulement qu'il n'existe pas de fragrance « voiture neuve» ou « cuir ». Enfin un autre, ayant tout essayé selon ses dires pour redonner vigueur à sa vie amoureuse avec sa femme (y compris les fouets) comprends subitement que leur problème était « évidement » la couleur de des lèvres de la dame.

Ridicule ce produit et cette histoire du courrier des clients ?

Je crains que non. Pour créer des nouveaux besoin, il faut préparer le terrain et quoi de mieux que de se servir du malaise qu'éprouvent certaines femmes envers leur corps. J'exagère ? Oh que non ! Comme prouve un intérêt croissant par exemple pour la labiaplastie. De quoi à nous décomplexer concernant notre penchant, assez inoffensif tout compte fait, pour les rougeurs naturels qui apparaissent par un rigoureux emploi de la fessée. Qui contentent le monsieur par sa belle création et la dame aussi qui se voit embellie par une main ferme.

lundi 25 février 2013

292 Éducation anglaise 2


(Suite de : Éducation anglaise 1)

La discipline passe avant la pudeur !

Parole d'éducateur confirmé. Un programme qui annonce clairement la couleur qui va s'afficher plus tard dans le sens littéraire sur mon derrière fraîchement puni et qui est identique à celle de ma honte qu'exprime mon visage. Voila donc le lien le plus spectaculaire entre discipline et pudeur. Par conséquence peu importe comment je me tourne, le rouge s'impose à un éventuel spectateur. Le ravit, l'amuse, l'informe sur ce qui s'est passé. Tandis que pour moi cet effet seyant reste invisible. A moins d'utiliser un miroir ou être contorsionniste. Voilà qui est troublant de ne pas pouvoir visualiser soi-même un changement qui saute aux yeux de tout le monde. Mais pourtant je le ressens sous forme d'un intense réchauffement. Chaleur qui accompagne la confusion sensuelle que provoque ma nudité partielle ou intégrale au service d'un châtiment qui se veut sérieux. Que l'on ne le veuille ou pas, l’excitation s'invite et le fait de devoir présenter son derrière pour une douloureuse remise en place prend ainsi une dimension supplémentaire. Et si le travail de préparation s'accomplit correctement, la tension nerveuse subit une fulgurante ascension et met à vif la sensibilité sensorielle. Chaque claque devient l'événement le plus important au monde. Plus rien ne compte pour moi.

La discipline fait oublier la pudeur !

Et dans un tel moment, il importerait même peu s'il y a spectateur ou pas. Je suis trop concentrée par les événements sur son postérieur. Voila donc un même événement vu des deux angles différents, aboutissant à des conclusions différents. C'est tout un poème, l'éducation anglaise !

Quand on sort en couple il en va de soi que je bichonne ma présentation. Une jolie robe et des escarpins à talons aiguille très hauts car nous allons faire du « sur place » qui est sans risque pour mes chevilles. Puis des bas noirs, bien évidement. Je ne tiens pas à décevoir mon « grand garçon ». Pour ne pas être trop tentée à table, j'ai une astuce simple : La guêpière, vêtement dont nous raffolons tous les deux. C'est joli et tellement sensuel à porter. Puis il est possible d'impliquer le monsieur dans la préparation.

Tu m'aides avec les agrafes, chéri ?

Ma taille affinée met mon derrière particulièrement en valeur. Voilà un ensemble qui me donne une allure de parfaite séductrice et ce que j'aime avant tout après nos sorties, ce sont nos ébats fulgurants quand nous rentrons à la maison.
Mais ce soir-là, je ne fais pas la guillerette au retour dans la voiture. Mon dérapage me pèse. Aussi et surtout parce que maintenant la suite de la soirée va être toute autre. Il y a une grande différence de procéder à un effeuillage pour embraser la sensibilité de son chéri et déguster un plat de vanille que de se préparer pour une correction de taille, style vilaine gamine qui malgré son âge se doit encore plier à la loi du martinet. Et pourtant j'ai rêvé de cette situation pendant toute mon adolescence et plus spécialement de trouver un compagnon qui se charge de me remettre sur le bon chemin en employant des châtiments corporels à mon égard. Et comme il est sérieux et consciencieux à ce niveau-là mon chéri. Il n’hésite pas de sortir le martinet quand besoin y est. Ce que j'aime avec lui c'est son petit air moquer envers mes mauvais comportements. Hein oui, il en connaît...

...une qui va se déshabiller entièrement pour recevoir sa discipline nocturne.

Me voilà fixée sur mon sort. Mais ce soir-là un nouvel élément va s'ajouter au programme. Une fois toute dévêtue, il déclare mes tenues de séductrice confisquées jusqu'à nouvel ordre. Je ne m'y attendait pas du tout. Après sa fulgurante inauguration, mon uniforme d'étudiante est passée dans ma penderie en attendant un vrai emploi punitif. Mon homme a su me faire patienter et sort maintenant le grand jeu. Il me fait préparer mon uniforme pour le lendemain matin avec la consigne de la porter pendant quelques jours ... à la maison. Ouf.

Ensuit le programme plus classique. Nous discutons sérieusement mon dérapage. Je reconnaît mon échec sur le chemin des bon comportement et la nécessite d'une belle correction. Je passe sur ma marche de la honte, veut dire d'accompagner en tenue d’Ève mon homme dans son bureau pour payer ma note. C'est éprouvant, mais d'habitude une fois ma fessée finie et mon temps au coin purgé, l'incident est clos et la vie reprend son cours normal. Seulement cette fois-ci quand je me réveillerai demain matin, la première chose qui me sautera aux yeux c'est ma tenue d'étudiante.

A suivre...

vendredi 22 février 2013

291 Liens de discipline domestique (50 ème édition)


Mon blog a presque un an !

Et ceci est la cinquantième édition de cette rubrique...déjà ! Il n'est pas une mince affaire de faire cette liste de liens parfois. D'abord j'ai une mémoire inexistante pour les photos déjà utilisées, car je dois en visionner quelque milliers chaque vendredi. Alors j'essaye de vérifier un peu, mais le risque de doublons me semble inévitable. Puis il y a des blogs qui ferment ou se font fermer parfois. Il faut donc tout préparer au dernier moment. Mais je tiens à ma petite distraction hebdomadaire.

Cette semaine un fantasme particulier en haut de l'affiche. J'ai demandé à mon homme lequel lui vient spontanément à l'idée. Ben voyons pas de surprise, notamment que j'étais en tenue de circonstance pour l'encourager dans un travail particulièrement délicat. Rien de mieux pour lui changer des idées pendant un moment. Bon c'est parti !


Un petit clip très glamour qui reste dans la suggestion. Je pense qu'il serait un peu réducteur de dire que seulement les femmes (au lieu de dire certaines femmes comme moi par exemple!) se sentent inspirées par des tels ouvrages. Aussi réducteur que dire que les femmes n'osaient pas pendant longtemps se pencher sur des ouvrages explicites. Et même si beaucoup de femmes jettent de nos jours un coup d’œil sur ce qui semblait défendu dans le temps, cela ne prouve en rien un réel attrait pour la chose présentée. Et encore moins un désir de passer ainsi du bon temps en solitaire. Pour ma part d'un côté il y a ma curiosité qui est très éclectique. Et sans honte et fausse pudeur je sais me pencher sur les publications et médias les plus diverses et insolites. Le tout pour mieux comprendre ce qui émeut certains êtres humains et -même si on a presque plus le droit de le dire – plus spécialement certains grand garçons. Et aussi pour apprendre quelques petits trucs, sensés de faire plaisir à mon partenaire. Mais oui, pas très dans l'air du temps de vouloir faire plaisir à autrui, mais pour moi cela reste un pilier du couple réussi au lieu d'y voir la conjugaison de deux individualités. En fait de la bonne curiosité qui animait déjà mes jeux de docteur quand j'étais petite. Qui me poussait vers la vaste bibliothèque familiale. Qui me faisait mettre certains vidéos en lecture pour savoir comment font les adultes.


Pour moi aussi la cravache fait partie de mon association avec le glamour entre filles. C'est un instrument tellement élégant, précis et sensuel. Nous avons aussi une à la maison, pour un usage récréatif et qui de plus est chargé de bon souvenirs. Alors oui, ce petit clip suffit pour me mettre en ambiance, pour me mettre à rêver. Envie aussi de tirer mon homme à la cravate vers notre chambre pour lui demander une bonne fessée à la cravache pour me montrer qui porte les pantalons à la maison.

Plus fort chéri ! J'aimerais porter les marques pendant toute la journée.


Alors parmi les hommes qui aiment le fantasme de la soubrette, il y a mon homme, mon Papa, mes frères... ce qui ne veut rien dire en soi, mais je sais qu'ils ont comme point en commun d'oser parler de leur fantasmes.


C'est un sketch, hein. Par contre il suffit de se déplacer en Allemagne où des tels services existent réellement. C'est du ni-touch pour grands garçons sages qui savent se servir de leurs yeux pour suivre les courbes de la dame. Cela me paraît tout de même un exercice assez difficile et en plus c'est payant.


Voila qui arrive quand on exprime mal ses fantasmes.


Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

















jeudi 21 février 2013

290 Compatibilité des fantasmes


Oh qu'il est nostalgique mon chéri !

Et selon mes (petites) expériences il n'est pas le seul homme de sa génération avec un tel sentiment. Le grand traumatisme d’avoir vu disparaître lingerie d’antan au début des années 70 et ceci pour plus d'une décennie. Puis réapparition toute discrète au milieu des années 80 dans … la grande distribution. Je rigole toujours quand Monsieur se pique une petite colère parce que son adolescence fut marquée par l'arrivé du unisexe. Il trouve cela particulièrement « injuste ». Et quand il en parle, il n'est pas loin de me faire une tête de Caliméro. J'imagine sa déception. Étant petit garçon il a dû se projeter d’innombrables fois à la place de son papa avec le droit de regarder sous la jupe de femme. Et puis, devenu ado, quelle horreur, plus de jolies attaches et la douce bande de chair entre le haut de bas et la culotte, mais à la place un truc qui semble faire office d'une ceinture de chasteté et qui s'appelle le collant. Heureusement mon chouchou a pu se rattraper plus tard avec le retour en force de la belle lingerie.

Souvenirs qui se croisent. Moi jeune ado bien plus tard, à la recherche de porte-jarretelles et de bas, en ne trouvant qu’un choix de plus basique. Souvenir de mon premier porte-jarretelles sous un jean. Petit secret partagé avec personne. Les sensations si particulières que provoque je genre de vêtement. Avec mes rêveries tournant autour de la découverte de mon audace par un homme (ou de femme) qui m’applique une savoureuse fessée pour avoir profané ma lingerie sous un jean. Au lieu d’avoir mis une robe ou jupe.

Il est difficile d’imaginer le contexte qui entourait ce genre de vêtements à la fin des années 80 en Allemagne. Cette touche d’interdit, non pas pour une immoralité quelconque, mais pour traîtrise envers ce qu’on croyait l’être du féminisme. Ado et encore loin d’être moi-même, cela ne fut pas bien facile à vivre. Puis un fantasme de fessée en plus qui ne me dérangeait pas vraiment, mais qui me semblait impossible à réaliser car n'ayant plus cours du tout. A cause d’un discours qui prônait une libre sexualité au naturel et qui se passait de toute fantaisie. Alors je me suis rapidement tournée vers les hommes plus âgées que moi. Ceux qui étaient nostalgiques d'un autre âge. Un choix que je ne regrette pas. Et cela me réussit. Il est agréable de vibrer avec son partenaire pour des stimuli proches.

Initier un jeune de mon âge à cette époque ?

Et puis quoi encore ? Je suis de la génération qui a grandi avec le prêt à l’emploi, prêt à porter, prêt à consommer. Cela marque forcement. Héritage des Doors et de son génial poète Jim Morrison : Nous voulons le monde et nous le voulons maintenant. (We want the world and we want it now)

Mon fantasme de fessée est fortement teint d’éléments fétichistes qui créent une ambiance particulière. Il y a beaucoup de différent avec un fantasme qui porte l’accent sur l’acte même. Ce qui explique bien pourquoi certains fantasmes de jeux cuisants ne collent pas entre eux. Ce qui montre aussi une autre difficulté : de trouver chaussure à son pied. Disons que pour bien d’amateurs de la fessée fétichistes, il suffit de formuler autrement. Par exemple...

... trouver bas à sa jambe, jeans à son derrière, guêpière à sa taille etc…

A mon avis le mieux que l’on connaît les détails exacts de son fantasme, le plus propice se présente la recherche d’un partenaire sur la même longueur d’onde. Il suffit d’écouter attentivement et de poser les bonnes questions. Partager un fantasme de fessée ne veut rien dire en soi. Cela ne va pas plus loin à sa base que partager le goût pour certain aliment. Ce qui importe c’est le plat que l’on en fait avec…

mercredi 20 février 2013

289 Un faible pour corriger une dame


Fessée plaisir ?

Parfois cela dépend pour qui ! Quand il s'agit de corriger mes mauvais comportements mon homme ne cache pas sa joie de passer à l'acte. Et ayant été fessée devant une glace à maintes reprises j'ai pu constater un sourire radieux sur son visage tandis que moi en plein rodéo - bien entendu- je ne reflète en rien du tout un air calme et serein. Mon visage est pour le moins que l'on puisse dire tendu et parfaitement à l'image de la rude épreuve que je suis en train de passer. L'épiderme me brûle déjà sacrement et à la sonorité de ma punition j’entends très bien que je ne suis pas encore arrivée au bout de ma peine qui se poursuit en crescendo. Gare au paddle en cuir que Monsieur affectionne particulièrement parce que selon lui...

il harmonise si bien avec la sonorité de mon postérieur.

Puis parce que c'est un instrument quasiment sans risque, il m'arrive de me prendre quelques tapes au grand finale que je qualifierais facilement comme mémorables. Puis pendant que je me lève et que je frotte et masse ma peau, Monsieur s'étire comme un chat qui vient de réveiller en ajoutant parfois :

Que ça me fait du bien de te corriger isabelle !

Je trouve une telle réaction tout à fait normal chez un homme. (Et ceci dit chez une femme aussi, si c'est elle qui applique). Je pense même que je serai terriblement vexée, si mon homme tirait une « gueule » de corvée de punition. Ou me faisait sentir qu'il me rend service. A ce niveau il a su me mettre à l'aise dès nos débuts. Il considère mon besoin de punition comme aussi naturel que mon besoin de rire, de danser, de chanter. Et il se sent pour sa part aussi à l'aise dans son rôle de papa fouettard qui sait remettre sa grande fille à sa place quand il le faut. Alors il ne se prive pas de me baisser la culotte quand il le juge utile, de me rappeler la présence du martinet à la maison. De me complimenter parce que le cuir de notre strap et notre paddle est soigneusement entretenu. Et pour bien souligner son autorité punitive dans le ménage, il s'occupe régulièrement de donner un bain à notre Rohrstock pour maintenir sa souplesse. Compagnon de plus tendre et affectueux, il sait m'imposer une discipline stricte qui me ravit. Toutefois quand il s'agit de la recevoir je me sens nettement moins enthousiaste.

Je suis convaincue que ces séances éducatives servent à diminuer les tensions inconscientes qui risquent de pourrir la vie de notre couple. Puis c’est aussi un acte bien ludique. Petit garçon ou monsieur mature, les fesses féminines exercent une attirance magique sur pas mal d’hommes. Et ce qui est interdit pendant l’enfance, ne l’est plus à l'âge adulte. Alors pourquoi ne pas se rattraper pour du bon ? Pourquoi ne pas donner une réalité à son souterrain imaginatif.

Je suis convaincue également que pour un homme chérissant le fantasme de la fessée une réalisation apporte beaucoup de bien. Au niveau de sa libido et au niveau de son bien être général. Il suffit de voir la joie de vivre de mon homme et plus particulièrement les jours où il m' a passée sur ses genoux dans son bureau pendant sa pause petit déjeuner. En finissant les réjouissances en m'imposant une bonne séance de coin pour lui exposer mon derrière tout rouge. N'en parlons pas de sa fameuse créativité éducative pour m'apprendre...

… à marcher au pas !

Je suis très sensible à cette expression et quand il l'a prononce j'ai des petits frissons partout. Évidement je parle d’un cadre par consentement et - pour ma part – sans tomber dans une pratique extrême. Ou encore dans un acte qui dure éternellement. Qui me rappelle certains hommes qui essayent d’une manière analogue dans la vanille d’impressionner la dame. Cela peut être bien. Mais cela peut être aussi ennuyeux. Voir très ennuyeux.

Quoiqu’il en soit Monsieur est toujours radieux quand il s’agit de me fesser. Peu importe mes bêtises. Payer pour une faute en procurant du plaisir à son partenaire me parait une excellente chose. Il en va de soi que je ne me retrouve peu dans les images qui montrent un monsieur style prof grincheux ou d’un air constipé. L’enthousiasme m’importe beaucoup. J’aime le voir dans les yeux de mon partenaire et le sentir dans sa façon d’être. Non seulement à élan de ses claques....

mardi 19 février 2013

288 Question de maturité


« L'acte de fesser implique donc un grand manque de maturité...

... comme en témoigne la littérature abondante qui a été écrite au sujet des châtiments corporels (en particulier à l'époque victorienne). »

En lisant ce petit paragraphe me vient aussitôt à l'esprit un beau texte d'Edgar Morin qui parle de « l'ambition de la pensée simple qui était de contrôler et de maîtriser le réel ». Et bien étrangement les termes contrôler et maîtriser apparaissent aussi à maintes reprises dans la construction de certains fantasmes de la fessée. Ah, du pain béni alors pour lâcher quelques méchancetés sur le dos de ceux et celles qui ont des fantasmes un peu différents des miens ? Pas du tout. Je ne suis pas sur un travail en occupant une place de mercenaire de l'esprit et sensée de défendre les intérêts de mon employeur par une habile argumentation. Alors j'ai envie de couper tout de suite l'herbe sous les pieds de ceux et celles qui se servent du concept de la régression pour discréditer notre fantasme. Effectivement pour argumenter dans le sens d'une immaturité il faut chercher la faille dans une personnalité. Mais considérons simplement qu'en psychanalyse il existe au moins trois formes de régressions : celle de la personnalité, celle de la libido et celle du rapport envers les autres. Et rien qu'une spécificité de la libido suffit largement pour expliquer un goût pour la fessée. Pas besoin dans ce cas-là de faire appel à une soi-disante immaturité.

Cette citation n'est que le début d'une argumentation quelque peu étrange, déniché par l'ami Georges, extraite d'un article sur la fessée qui date et qui fut publié dans un magazine s’appelant le « Club pour homme ». L'auteur est un monsieur qui se nomme Karl Steiner et qui parle de récits sur notre sujet favoris de manière bien surprenante :

« Aussi exécrable et puéril que puisse être ce genre de littérature, nul doute qu'il répond aux besoins des fanas de la fessée. C'est la faiblesse même et l'immaturité de ce genre de texte qui présentent un intérêt pour les mordus des claques sur les fesses. Ceci dit sans vouloir être péjoratif, c'est une simple constatation. Si cette littérature était conçue de façon plus intellectuelle, si les phrases étaient mieux construites, si la ponctuation était plus exacte, elle n'aurait sans doute pas le même effet car c'est l'immaturité qui est l'essence même de l'acte de fesser... »

Effectivement, si ceux qui en parlent, n’arrivent pas à aligner correctement deux phrases et de plus se perdent dans le cliché de l'immaturité, il me paraît compréhensible que notre petit monde évoque seulement de l'incompréhension chez le large public. Heureusement l'auteur s'est bien trompé. Le goût pour de telles pratiques me semble innée chez pas mal d'êtres humains comme prouvent les bestsellers actuels à ce sujet. Il fallait seulement trouver les bon mots pour en parler. Car soyons clairs, même ayant un terrain favorable du moins pour les activités cuisantes, moi aussi je passe vite mon chemin quand je me trouve devant des textes, à l'aspiration intellectuelle ou pas qui se servent d'un vocabulaire particulièrement seyant. Ce qui ne veut pas dire que je sois dans la chambre à coucher une sainte ni-touche. Seulement il me manque l'étincelle qui établit un lien excitant entre activités du corps et la vaste panoplie de ce que je considère comme expressions grossières. Je pense que ce que souhaitent les lectrices lambda dont moi, ce n'est pas forcement une vision de l'amour aseptisée, mais une sans se faire insulter par son partenaire en faisant la chose.

Selon mon opinion personnelle la communication sur la fessée est assez bancale. Personne, même dans les régions très champêtres, n'ignore les vertus aphrodisiaques, mais la magie de ces corrections me semble se nourrir d'un contexte de sorte « névrotique » qui met en valeur « une punition », parfois qualifiée de « bien méritée ». Et là, il faut se poser la bonne question pour mieux comprendre autrui. Il me semble inutile d'essayer de comprendre pourquoi il y a ce désir, ce besoin de punition ou de punir. Plus fructueux me semble de comprendre quel genre de fantasme s'est greffé sur la constellation d'origine. Et ceci non pas dans un but de s'instruire sur la nature profonde de l'être humain, mais justement pour contribuer au mieux possible à l'épanouissement de son ou sa partenaire.

Je reviens sur ce texte qui semble vanter le mérité de la littérature de gare dont déjà Sartre était friand en « se faisant un petit roman illustré sur la fessée » dans « La nausée » juste avant de se pencher sur l’existentialisme. Étant hélas ( ?) intellectuelle sans pouvoir le cacher, je ne saurais rien dire sur le potentiel d’excitation d'une prose approximative. Seulement pour ma part je doute dans la véracité ce que prétend l'auteur de l'article...

lundi 18 février 2013

287 Éducation anglaise 1


(En complément de :282 Perte des privilèges 1)

Parle à mon trou du c*, ma tête est malade !

Et subitement toutes les discussions s’arrêtent. Tout le monde se retourne vers moi. Un moment de grand silence, un moment de grande solitude. Voila qui arrive quand on est très en colère et quand on est novice dans une langue étrangère. Un souvenir de ma phase gros mots, une expression ensoleillée que j'avais entendu pour la première fois dans le très convivial bassin toulousain qui regorge de gens sympathiques. Ah le sud avec son bel accent que je fais le mien. Seulement le fameux trou ne fait pas partie de l'expression. C'est un apport personnel qui révèle un souterrain fantasmatique significatif. Quand cette phrase m'a échappée je connaissais mon homme depuis quelques mois et j'étais déjà familière avec la bonne fessée maison. Une qui est punitive et qui se veut instructive. Celle que réclame mon irrationalité. Mon homme aussi avait utilisé à maintes reprises des variante de ce « bon mot » comme par exemple :

Vu que ta tête est trop récalcitrante, je préfère m'adresser à ton derrière, isabelle !

Sauf que ...une fois le Rohrstock (la canne) en main pour me corriger à la hauteur de mon méfait, il avait eu la bonne idée de me faire adopter une nouvelle position. Alors fini de me pencher sur son bureau en posant le haut de mon corps sur un confortable coussin. Me connaissant bien souple, il m'a demandé de me pencher en avant en mettant mes mains autour de mes chevilles. Puis, pour une plus grande stabilité d'écarter mes jambes.

Le regard droit devant, isabelle !

Il me semble inutile de faire un dessin. On imagine facilement le côté impudique de cette position. Et il me parait bien différent d'offrir ce genre de spectacle aux ardeurs de son chéri pendant une bonne partie de vanille que des se retrouver ainsi exposée pour se faire botter le derrière. Il m'arrive rarement de ressentir ma pudeur soumise à une rude épreuve, mais là c'était le cas. Voila donc par quel souvenir mémorable « le trou » s'est glissée dans ma version du dicton. N'oublions pas non plus que ce genre de produit verbal, directement échappé de l'inconscient sans la moindre censure est sensé d'exprimer un...désir. Et à vrai dire l'idée de recevoir ma punition dans une telle posture devant la personne offensée - à tort ou à raison, peu importe – me titille beaucoup dans mes rêveries. Ah si la fessée avait encore cours... disent mes pulsions, ... dans certaines circonstances... ajoute ma raison. Un petit mot sur la thématique d'une éventuelle faute dans cette situation. En fait objectivement je n'en vois aucune, même si j'ai tort dans mon emportement. Par contre je suis sacrement mécontente de moi. Je me suis laissée provoquer ce qui crée un décalage entre ce que je suis et ce que j'aimerais être. De plus cela s'est passé devant un public... hautement amusé que je propose de continuer la discussion avec cette partie quelque peu insolite de mon corps. Effectivement, mon expression pousse à la visualisation. Même une personne dépourvue de fantaisie sait de quoi cela retourne, pointe l'oreille et le regard aussi pour la suite des événements.

Je n'y manquerai pas !

Déjà je suis en colère et en plus cette bécasse continue à se moquer ouvertement de moi. Intervient mon homme, gentil et souriant et avec quelques mots très simples il arrive à désamorcer la situation et la tourner à mon avantage. Des compliments de partout pour mon français. Je n'en reviens pas. Puis un petit moment plus tard, il vient de rappeler qu'il faut rentrer chez nous. Demain il aura une journée très dure, ce qui est vrai, alors il souhaite de ne pas se coucher trop tard. Oh là, il y a un orage qui se prépare. Je le connais bien mon chéri. J'ai du grand souci à me faire. Pour la peau de mes fesses une fois rentrée à la maison. Et aussitôt dans dans la voiture, tombe son verdict :

Je saurais te faire passer tes air de grande dame, isabelle. Crois-moi !

Mais oui, je lui crois. Car décryptée, notre discipline domestique se résume ainsi : Je vais avoir du mal à passer l'éponge sur ce fâcheux incident. Me mettant en colère contre moi-même encore et encore pendant des jours, en ruminant sur ce qui est fait et pourrir par la même occasion la bonne humeur qui règne habituellement à la maison. A moins de... recevoir une correction de taille qui me permet d'expier correctement mon « mécontentement ». Sauf que cette fois-ci il semble que mon homme ait une idée bien précise en tête. Je le sens et cela met mes nerfs à vif. Pour monter la tension, il s'y connaît bien. Cela fait partie de ma punition et bien que il n'y ait aucun abus en matière de douleur infligée, sa stratégie éducative se base sur les exercices de modestie selon la devise :

La discipline passe avant la pudeur !

A suivre...

vendredi 15 février 2013

286 Liens de discipline domestique (49 ème édition)


Un petite dame qui ne manque pas d'audace !


Je n'ai plus 16 ans, mais si on m'avait proposé une telle activité à cette époque-là, j'aurai sans doute dit oui (ohhh ouiii!). Réaliser certains fantasmes restera à mon avis toujours un compromis plus ou moins réussi. Déjà par le fait que dans son cinéma perso on est seul maître à bord, tandis que dans la réalisation intervient une autre personne qui apportera ses propres éléments. Quoiqu'il en soit, il me semble que ce petit clip ne montre que la partie émergente d'un souterrain fantasmatique particulièrement riche. Cela se passe dans la bonne humeur et avec une belle sonorité des tapes sur les fesses de la jolie dame.


Une de mes rêveries favorites et surtout ... je ne suis pas la seule qui la chérit. Ce qui prouve bien que le plombier ou le mécano n'est pas le jardin secret de bien de filles. Un post comme j'aimerais en lire plus souvent. C’est particulièrement imaginatif et tout le monde peut y trouver son compte. Pour ma part, peu glorieuse, je me verrais bien dans le rôle d'une des deux insolentes Péronnelles qui se font remarquer par Constance en profanant le silence du lieu. Évidement cela ne reste pas sans punition déculottée.


Quelle convivialité. Amandine propose de la couture accessible à tout le monde. Je ne manque pas de bonne volonté, mais je suis loin d'être une bonne couturière. Alors ce string à nœud tombe à pic. Il en va de soi que je vais essayer. L'occasion de déballer enfin ma machine à coudre que je voulais à tout prix (enfin elle était à tout petit prix), tandis que mon homme n'a pas pu s’empêcher de rigoler...


Voila qui me rappelle en quelque sorte les vestiaires de filles. Subitement pour une raison ou une autre la fessée apparaît. Quelques petites tapes innocentes qui peuvent avoir un grand intérêt pour aborder les sujet ultérieurement en tête à tête. N'oublions jamais qu'il semble souvent difficile d'aborder ses propres incohérences devant les autres. Mais c'est nous et nous seuls qui ressentons cette difficulté.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















jeudi 14 février 2013

285 Peur de la fessée


Trouillarde la petite, isabelle… ?

Hein oui, parfois même pour un rien !

Il y a de sujets qui semblent manquer sur mon blog. La peur de la fessée en fait partie. Ce n’est pas une simple coïncidence. Le sujet ne m’évoque pas grand chose. Manque de vécu négatif. Fort heureusement. De toute façon je ne me verrais pas avec un homme qui tire plaisir de mes peurs. Peut-être un choix judicieux de mes partenaires au fil de ma vie. Peut-être aussi dû au fait que j’ai commencé la pratique des châtiments cuisants à l’âge adulte. Avec une idée bien précise de ce que je voulais et de ce que je ne voulais pas. De plus, j’ai une grande facilité de dire « non » quand quelque chose ne me convient pas. Je pense que je suis assez claire dès le début d’une relation pour éviter que l'on dépasse les bornes avec moi. Je suis peu impressionnable ... à part par un vrai savoir basé sur des faits. Je manque d'enthousiasme envers les pratiques et surtout personnes qui promettent un plaisir fulgurant. Je ne suis pas une gamine, on ne me tente pas avec des bonbons. Je ne souhaite pas être initiée aux jeux de certaines élites … car je fais partie des petits gens sans histoire qui se contentent de leur banalité. Je ne suis pas non plus susceptible à la flatterie. Je sais très bien évaluer ce que je suis et ce que je fais … et surtout ces deux notions ne se confondent pas dans ma petite tête.

Tout cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas de situation de fessée qui me fait peur. Je ne tiens pas à m’y exposer. Voila tout. En fait j’ai pris conscience du danger que pouvait impliquer la fessée depuis que je fais du net. C’était une ouverture vers un ensemble de pratiques que je n’aurais personnellement jamais associées à mon monde fantasmatique si romantique. Bon, chacun vit ses fantasmes à sa guise et quand quelque chose ne convient pas, on ne regarde pas. Ce que je fais. Je me tiens à ma vision plutôt « douce » de la fessée. Et en quelque sorte de plus classique. Une qui se base sur des motifs réels. Faute ou mauvais comportement qui méritent punition. Correction pour être plus précise. Non pas prévue pour provoquer un plaisir fugace, mais une amélioration d’une mauvaise habitude au quotidien. Une fessée qui m’apporte du concret. Du constatable et non seulement par moi-même. Et ce qui me fait le plus plaisir sont les commentaires de mon entourage sur mes bonnes manières. Et là je pense que ce genre de résultat ne s’obtient pas par la force ou la peur de la punition, mais par un contexte psychologique habilement construit. Pour moi une vraie fessée punitive doit faire mal. Sinon elle n’est pas crédible. Inciter à réfléchir par une intense brûlure. Sans aller plus loin.

Par exemple les paddles en bois me font peur. Trop massif pour moi. J’ai l’impression que ce genre de truc sert à assommer une femme. Si différent d’un petit paddle en cuir qui épouse mes formes. Le manque de souplesse se lie pour moi à un manque de « sensualité punitive » en quelque sorte. Et dans ce sens, pas instrument rigide sur mes fesses. Pure subjectivité. Bien entendu. Pour citer un autre exemple, pour mieux illustrer cette incohérence quand mon homme prépare le Rohrstock ((la canne), cela m'évoque aussitôt une très savoureuse morsure provoquée par un effet de souplesse. Malgré une certaine intensité de la douleur, la peur reste le cadet de mes soucis. Monsieur n'essaye pas de tester sur moi des nouvelles limites. Il me corrige sans se prendre pour le divin marquis. Alors je connais le programme et je me vois déjà après chaque coup et surtout à la fin de ma punition en petite stroumphette qui saute en l'air en se frottant le derrière au lieu de marcher dignement. Ceci dit dans une telle situation il y a tout de même un sacre stress qui commence vite à s'accumuler. Et il n'est pas un hasard que parfois monsieur juge utile de m’accompagner au petit coin avant de s'occuper de mon derrière. C'est bien différent de la peur à mes yeux. C'est plutôt un phénomène d'atmosphère trop chargée qui demande foudre et tonnerre pour se purifier. C'est dans ces moments-là que j'éprouve un terrible besoin de punition et malgré la douleur dans mes fesses qui m'attend, je sais aussi à quel point je me sentirai mieux dans ma peau une fois ma correction finie.

mercredi 13 février 2013

284 Petite attention pour la Saint Valentin


Pour la fêtes des amoureux j'ai envie de faire une belle surprise à mon chéri !

Comme pour mon homme, Paris m’évoque infailliblement une certaine image de la femme. Avec un grand F. Séductrice jusqu'au bout des ongles, elle sait éveiller le désir masculin avec raffinement. Nous sommes conscients tous les deux que cette association se base plutôt sur un mythe personnel de cette ville que sur de faits réels. Ni lui ni moi, nous connaissons la capitale d’un vécu perso. Pour l’un comme l’autre c’était toujours une étape sur note route. Alors nous nous berçons dans nos rêves quand le mot Paris surgit et nous rêvons parfois ensemble. Une promenade avec Monsieur et Madame Monet dans un décor tableau de la belle époque. Une visite au Moulin Rouge en compagnie de Toulouse-Lautrec. Une rencontre fugace avec van Gogh au petit matin dans un petit bistro du coin. Une discussion avec Sartre et Simone de Beauvoir…

Puis Monsieur ne manquera pas de me faire part d'une déception de taille en rapport avec Paris. Pour la nième fois. Son impression à la sortie du film : « La nuit porte-jarretelles » dont il s’était fait une petite idée d’avance. Cruellement déçu par une histoire bien médiocre selon ses mots. Veut dire une quasi absence de porte-jarretelles dans ce film. Et plouf, son mythe de Paris s’est effondré. Et à chaque fois j’éclate de rire quand il s’énerve contre le titre mensonger. Une chose est sure : Il l’avait mauvaise, cette séance. Lui qui se laisse difficilement duper.

Mériterait bien une....

Chéri retiens toi. Pense au politiquement correct !

Puis il divague sur la « justice du destin » (il est sérieux là mon chouchou ?) en voyant à la sortie du cinéma (cela s’est passé à Toulouse et non à Paris) un couple attendant la séance prochaine. Un couple approximativement de nos âges respectifs de maintenant, déjà bien rétro pour les années 80. La dame s’affichait dans un tailleur gris. Très cintré et très strict, assorti de vertigineux escarpins noirs. Puis, comme clou elle portait visiblement des vrais bas à coutures qui ont une façon très caractéristique d’habiller une jambe féminine. Du quasi introuvable dans les années 80 ceci dit selon mes sources. Hein oui, des vrais bas, comme on disait apparemment à cette époque et comme rappelle une chanson contemporaine d’Yves Simon (Je pense à elle tout l’temps). Que Monsieur aime bien d’ailleurs. Ben voyons. Connaissant son faible pour les jupes en cuir, également un grand classiques des années 80. Difficilement trouvable d'ailleurs à la fin des années 90. Mais heureusement il y avait des friperies et j'ai pu m'équiper avec une belle jupe droite en cuir noir et également une d'évasée et assez mini. Cette dernière avec un chemisier blanc fait très cliché de secrétaire aguichante. Et sans la moindre surprise l'effet sur mon homme est redoutable.

Presque 30 ans se sont écoulés depuis la sortie du film. Monsieur a presque doublé de l’âge. Pour la Saint Valentin j’hésite alors entre les deux tenues évoquées. Celle de la dame inconnue ou celle de la chanson d’Yves Simon.

Seulement je ne suis pas sure du tout du tout de rentrer dans mes petites tailles de jadis. Alors si je ne rentre pas, c’est décidé. Je vais parler à Monsieur d’un régime sous surveillance. Cela aussi lui plairait énormément comme attention pour la Saint Valentin

Pourquoi cette pensée ?

Parce qu’il ne me fait jamais la moindre réflexion désobligeante sur mon poids. Et par-dessus du marché j’arrive depuis presque 15 ans à lui faire oublier les belles dames de Paris, telles qu’il les imaginait dans son adolescence…

mardi 12 février 2013

283 Perte de privilèges 2


J'adore le shopping !

J'ai passé une excellente journée pour trouver ce dont j'avais besoin pour faire la surprise à mon homme. Puis la perspective de vivre une situation en rapport avec mes rêveries d'internat m'a mise dans un état quasi secondaire. C'était dans le tout nouveau, tout beau. Et à vrai dire je n'ai pas changé depuis. Quand il s'agit de faire plaisir à mon homme je suis toujours partante. Il m'arrive également de lui prendre des petits trucs pour le plaisir de mes yeux et il ne dit pas non pour les mettre. Même si cela lui coûte comme pour...

...ces ridicules strings en cuir !

(Passons sur l'effet stimulant d'un certain ridicule ! C'est un sujet à part entière.) Le plus dur à trouver ce fut la veste à écusson. Je n'avais pas vraiment envie de m'endimancher. Je voulais quelque chose ne manquant pas d'élégance. J'ai opté pour un blazer mode et j'ai acheté un écusson à part. Et voilà le tour joué pour un aspect trompe l’œil d'un authentique. Quant à la jupe plissée - pas trop courte toutefois  - et autant pour le chemisier blanc le choix ne manquait pas. J'avais décidé de soigner les détails. Alors j'ai pris aussi une petite cravate noire et un lot de culottes style petit bateau. Concernant ces dernières j'aime beaucoup l'effet sur un pubis dépourvu de poils. Cela donne un aspect en quelque sorte sage et impudique à la fois. Et comme j'ai pu constater par la suite, mon homme résiste difficilement la tentation de glisser ses doigts sous le fin coton. Et aussi de me caresser par dessus de la culotte. Enfin, restait le choix des chaussures et des bas. Hors de question pour moi de mettre de chaussures sans talons. Personnellement je ne me vois pas dans des ballerines. J'ai hésité pendant un long moment sur des bas-up avant « d'oser » les chaussettes longues. Blanches, cela va de soi et s’arrêtant en dessous du genoux selon les souhaits de mon homme. Pour moi, cela évoque un comble de ridicule sur une femme. Et pourtant je ne suis pas facilement à effrayer en matières de tenues. Pendant un moment j'avais compté sur le « bon goût de mon homme » et ses préférences pour les bas. Mais bon, une fois appris qu'il aimait s'extasier devant la nudité de me genoux, je me suis dit :

Pourquoi pas ? Après tout nous sommes dans un registre de punition.

Me voilà donc parfaitement équipée pour ma rentrée scolaire. J'ai essayé de me familiariser un peu avec cette tenue en absence de mon homme. Je sais qu'il a un faible pour le naturel, alors justement il faut de l’entraînement que cela paraisse vraiment naturel. Petite phase bénie de jolis rêveries. Le tout agrémenté par la présence de notre martinet. Je ne dirais pas que je sentais en mettant cette tenue un retour vers mon adolescence. Je n'ai pas vécu des châtiments corporels outre que dans mes fantaisies. Je n'ai pas été dans une institution privée qui préconise les uniformes pour les jeunes filles. Et je n'ai pas été une ado timide ou pudique envers les garçons. Ma nouvelle tenue ne correspondait à aucun élément de mon passé. Je m'étais donc préparée pour vivre autre chose. Du nouveau, tout compte fait.

Je n'ai pas attendu longtemps la bonne occasion pour passer à l'acte. Un retour de Monsieur après un déplacement de quelques jours. Il me passe un coup de fil pour m'annoncer l'heure exacte à laquelle il rentre en finissant par :

Pas de harcèlement ce soir. J'aimerais te voir dans une tenue apaisante, isabelle !

Bien sur mon chéri, tu fais bien de me le rappeler !

Intérieurement je suis pliée de rire. Il doit être sacrement claqué pour manifester un tel désir. Bon, je suis une petite dame disons ... très active... avec l'homme que j'aime. Notamment après une séparation de quelques jours. Étant d'une excellente humeur, je profite pour me préparer. Malheureusement mes cheveux sont trop courts pour une coiffure avec une tresse. Du maquillage oui, mais très discret. Puis j’attends en buvant mon café.

Que dire de nos retrouvailles ? Les yeux de mon chéri pétillent. Il me demande maintes fois de me tourner pour qu'il puisse me contempler sous toutes les coutures. Puis petit bonus, je lui fais voir l'effet de la jupette plissée qui se lève en me tournant et dévoilant ainsi ma culotte petit bateau. Ah comme il est facile parfois d'émerveiller un homme.

Contrairement à nos habitudes, retrouvailles vanille acrobatique, ce soir-là la fessée était au programme. C'était une évidence pour nous deux. Évidence qui n'avait pas besoin de faute, ni de prétexte. Envie d’entendre la sonorité de mes fesses. Pas besoin de martinet non plus. Parfois les choses les plus simples sont le plus agréables. Moi allongée sur les cuisses de mon homme, mon derrière en l'air. Tout nu, car ma petite culotte en coton est descendu autour de mes chevilles. Dans le feu de l'action elle n'y restera pas longtemps. J'ai tendance à gigoter fortement et ainsi me libérer aussi mes chevilles. Et quand mon postérieur affiche déjà un magnifique rouge, ma culotte se trouve par terre. Oubliée et abandonnée. Comme mes chaussures.

J'aime beaucoup le classicisme de la fessée à la main. La vigueur masculine qui s'exprime d'une manière fort pertinente. Plaisir de sentir le monsieur faire sa loi. Sensualité quand tu nous tiens. On comprend aisément pourquoi l'emploi du martinet s'impose pour les très grandes filles en cas de punition. Éviter une trop forte excitation sur le champs. Notamment quand c'est un monsieur aimé qui applique la punition. Dans ce cas, il y aura toujours cette agréable ambiguïté qui approche la fessée d'un pur acte charnel. Même sans suite « pénétrante ».

Quand Monsieur se sert de sa main, hors contexte de correction, j'aime beaucoup lui souffler des petits :

Plus fort s'il tu plaît !

Je sais bien à quel point cela augmente ses ardeurs. Et quant à moi, j'ai envie que cette fessée reste gravée dans dans mes fesses pendant des très longues heures. Qu'elle nécessite un bon coussin pour m'asseoir à la maison ou qu'elle me procure des terribles gigotements (encore!) quasi involontaires dans un lieu public, comme le bon restaurant après l'acte.

Ce soir-là nous ne sommes pas allés au restaurant. Nous avons profité pour une balade nocturne en amoureux. C'était en automne, mais il faisait encore bon. Car n'oublions pas que j'étais en jupettes avec mes jambes nues à partir du genoux. Une balade extrêmement romantique. C'est là que j'ai commencé à apprécier vraiment ma tenue. Elle est idéale pour se faire corriger et idéale pour faire prendre l'air à un popotin brûlant.

A suivre...

lundi 11 février 2013

282 Perte de privilèges 1


Ah le grand classique pour donner une dimension supplémentaire à la discipline domestique !

L'idée de perdre une partie de mes privilèges de dame, pour reprendre un rang d'une demoiselle dont l'éducation reste à (par)faire, sans toutefois trop savoir ce qu'implique cette dernière notion, a hanté mes rêveries de célibataire. Pas uniquement celles sous ma couette ou dans ma baignoire, tiens, mais aussi celles à yeux ouverts au cours la journée. Pendant la pause déjeuner avec mes collègues. En attendant le bus et pendant le trajet. Dans une interminable file d'attente. Bref à chaque occasion où j'avais envie de m'évader un peu. Où il fallait faire présence de corps et non de l'esprit. Et bien entendu dans mes petits films je ne manquait ni de sévérité, ni de vice avec moi-même. Il est d'ailleurs bien connu que les punitions imaginaires ne vont pas de main morte. Et le fait que quelqu'un décrive des déculottées qui ne résistent pas à la épreuve de la réalité (ou devrais-je dire plutôt des vraies fesses qui ne résisteraient pas à une telle épreuve réelle sans importants dégâts ?) n'est pas forcement synonyme d'une personne avec des fantasmes extrêmes. Chaque chose en son temps.

Mais disons que cette histoire de privilèges vit avant tout de l'émotion que procure un changement radical de la tenue de la dame.... imposé par le monsieur avec une voix ferme et décidée ! L'interdiction de porter pendant un temps tel ou tel autre vêtement. Et adopter à la place une tenue de rigueur avec un lourd sous-entendu symbolique. Une tenue pour me remettre à ma place, dans laquelle je suis sensée d'être gênée, voir honteuse et qui par ce fait devrait m'inciter à réfléchir pour changer mes mauvais comportements. Tout un programme ! Ne rigolons pas, la discipline domestique se veut sérieuse. Et c'est justement là que réside son charme. En essayant de rétablir des valeurs qui n'ont plus cours depuis belle lurette. Grande émotion et spectacle à chaque fois que Monsieur me demande de ranger jusqu'à nouvel ordre mes jolis habits de séductrice (y compris et surtout mes bas et porte-jarretelles!) pour remettre mon uniforme d'étudiante Et par uniforme je n'attends pas un accoutrement tirée par les cheveux, c'est-à-dire provenant d'un magasin pour améliorer le côté récréatif du couple, mais une tenue dans laquelle on peut sortir de la maison sans offenser la pudeur publique. Quelque chose calquée sur la grande époque des internats pour filles de bonne famille, style années 50. Du moins comme j'imagine l'ambiance de cette décennie. Et de l'expérience, ceux et celles qui me regardent ainsi vêtue ne savent pas vraiment non plus si s'agit d'une allure ultra-branchée de ma part ou si je fais réellement mes études dans un établissement avec des telles exigences vestimentaires. Au début c'est un peu inhabituel de sortir ainsi avec son homme, mais cela devient vite du tout naturel. Notamment quand on a que 24 ans comme moi à l'époque, il y a un grand effet rajeunissement au point que mon homme étais pris parfois pour mon papa. Ce qui n'était pas pour me déplaire et le risque de déraper sur un jeu de sale gamine n'est pas négligeable.

Retournons un peu à l'automne 1998. Quelques jour auparavant monsieur m'avait confié - un peu gêné - son goût pour la rigueur des uniformes scolaires. Les petites jupes plissées, grises, bleu marine ou écossaises avec des culottes en coton en dessous. Voila que retient monsieur en parlant du fantasme de l'écolière. Du basique à l'état pur. Je n'ai pu m’empêcher d'éclater de rire. Alors monsieur un peu vexé, n'a pas oublié de rajouter :

Ça va de paire avec l'emploi du martinet, isabelle !

Achat un commun, effectué au cours d'une agréable journée ensoleillée. J'avais déjà pu goûter à quelques reprises à cet instrument si traditionnel et si étroitement lié à la culture française. Aucune discussion sur la fessée où le martinet ne fait pas surface et devint le principal acteur de savoureuses anecdotes. En fait, il y a avant tout son non-dit. Il semble plus méchant quand on en parle que de le subir. Une fessée au martinet est certes douloureusement désagréable, mais en aucun cas assimilable à une séance de torture. Cela rejoint le registre « même pas peur, même pas (trop) mal » évoqué parfois dans ce contexte et résumant parfaitement mes propres impressions. Reste après acte un fessier brûlant, joliment strié, plaisant à regarder dans une glace et qui donne envie de devoir l'exposer... tiens...devant quelques bonnes copines. Ou encore la belle mère dans mes fantaisies les plus hardies.

...et des longues chaussettes blanches  qui s’arrêtent juste en dessous du genoux !

Tu plaisantes chéri ?

Hein non, il ne plaisantait pas. Et à sa voix j'ai compris à quel point ce petit détail le troublait.

A suivre...

vendredi 8 février 2013

281 Liens de discipline domestique (48 ème édition)


Embarquons d'abord avec isabelle-airlines !

Petite scène de fessée pour la jolie hôtesse de l'air et qui n’échappe pas à ma vigilance. Cela se passe entre 40 secondes  et 43 secondes après le début de cette parodie de publicité. Politiquement parfaitement incorrect, c’est un embarquement dans la rêverie pure. Quoique… Je serais peu étonnée d’apprendre, qu’il existe quelque part dans ce vaste monde, des endroits où on peut s’acheter, moyennant finance, ce genre de fantasmes. Sans être un homme je peux comprendre l’attirance de certains messieurs pour les hôtesses de l’air. Le mien n’en fait pas exception. Il y a de quoi à faire rêver. Un physique de plus plaisant, un joli uniforme, un maquillage parfait, les cheveux soigneusement attachés et en bonus la petite coiffe. Mais ce qui me saute avant tout aux yeux, c’est le sourie en toute circonstance. Connaissant moi-même le pouvoir de séduction de savoir même dire non avec un grand sourire, je pense que le secret de l’attirance pour les hôtesses de l’air se trouve essentiellement ici…


Un blog de fille sur la fessée en moins. Dommage, j'aime beaucoup ce qui est fait 100% maison. Latis a fermé le Passager-Rouge. Ceci dit, moi aussi j'ai déjà fermé des blogs, sans états d'âme. Le plaisir de tirer le rideau. Peut-être les femmes s'accrochent moins que l'on ne l'imagine... aux histoires d'hier. Voilà qui montre la difficulté de faire cette liste de liens. Parfois des blogs avec des milliers d'images disparaissent d'un jour à l'autre, notamment ceux qui avaient les plus croustillantes. Sans parler de certains clips. Toutefois le vraiment nouveau reste bien rare. En fait ni le string, ni la petite tape sur le derrière dénudé sont une invention des années 2000  pour attirer du monde.




Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !