vendredi 27 avril 2012

52 La ceinture de ma belle mère 3


Voici un fantasme qui comble mon voyeurisme et mon sadisme ! Inspiré par la présence de la ceinture de ma belle mère à la maison

J’ai pris mon temps pour inspecter cette ceinture marron foncé sous toutes ses coutures. D’une largeur de 5 cm environ, elle correspondait à la mode de l’époque.  Faite en épais cuir rugueux d’excellente qualité, elle est agréable à toucher et son impacte sur la peau dévoile une belle souplesse.

Il ne faisait aucun doute que son usure n’était pas causée en retenant les pantalons, mais par les conséquences de les baisser.

Comme m’a dit mon homme, cette ceinture est plus dissuasive par le bruit qui accompagne son usage sur les fesses que par la douleur qu’elle cause.

Ma foi, là je suis un peu sceptique, car le :

Même pas mal

c’est bien un truc des garçons.

Sachant la ceinture de ma belle mère à la maison, une multitude de rêveries mes passaient par la tête. J’imaginais d’assister à une punition de mon homme, le voir baisser son jean puis son caleçon en dévoilant ce qui m’attire particulièrement chez lui :

Son derrière qui ne craint aucune comparaison avec certains acteurs !

Puis je commençais à évoquer dans ma fantaisie une superbe fessée par ma belle-mère, moi à côté en me moquant à haute voix de mon homme.

Voila, cela t’apprendra à courir les filles !

En lui tirant ma langue.

Mon plaisir augmente dans la même mesure que rougissent les fesses de Monsieur et quand il doit aller au coin, bien gêné dans sa démarche par le jeans et le caleçon aux chevilles je suis aux anges que pour une fois il y a inversion des rôles (Même si je ne le souhaite pas du tout dans la réalité).

On m’imagine souvent bien sage à cause de mon discours en faveur de la fidélité en couple. Hein oui je n’ai rien d’une libertine, mais pour moi fidélité ne rime nullement avec absence de séduction et de désir.

Alors dans ma rêverie je me sens très ado, en guettant l’homme au pantalon baissé dans le coin. Au contraire de ce qu’on pourrait imaginer je ne guette pas ses fesses. Je pense qu’il faut être un homme pour s’extasier principalement sur cette partie de l’anatomie (d’une femme). Moi, j’ai bien envie de voir ce qui se passe par devant, comment l’augmentation sanguine dans le postérieur commence à faire effet sur les parties limitrophes. Et bingo, il a de quoi à observer. Monsieur au garde à vous. Pour le moins qu’on puisse dire, elle est salutaire cette fessée.

Mon fantasme ne s’arrête pas à la pure observation. Il inclut également le droit de balader mes mains sans que mon homme ait le droit de bouger dans son coin. Bien que cela parle de « verges », nous avons déjà quitté le terrain de la fessée…alors rideau et je retourne à mon histoire.

12 commentaires:

  1. La fin de votre récit me donne l'envie de rebondir, avec une petite anecdote historique, (dont votre homme vous a sûrement déjà fait part): on sait que les vertus thérapeutiques de la fessée ont été reconnues depuis l'Antiquité, mais vous imaginerez sans peine mon trouble, quand, au cours de mes études, j'ai vu dans les sources sur lesquelles je travaillais, à savoir quelques extraits de traités de médecine du XIII° et XIV° siècle sur des questions de sexualité, que la fessée était une bonne façon de remédier à l'impuissance, et qui faisait régulièrement ses preuves. (et franchement, quand je vois les effets que ça produit sur Simon, je me dis qu'ils n'étaient pas si bêtes, les médiévaux... Tiens, moi aussi, j'en viens à parler de verges en ayant quitté le thème de la fessée!)
    (et ma directrice de recherche m'a félicitée sur ma façon de parler des questions de sexualité. Pourtant, les évocations de la fessée m'avait donné des bouffées de chaleur!)

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  2. Les faits historiques sur la fessée me passionnent beaucoup. Bien évidement cela devient encore plus passionnant quand théorie et pratique se mélangent. Quant à l’effet de la fessée reçue par mon homme, je dois me contenter de ses souvenirs. Heureusement il ne pratique pas la langue de bois.

    Par contre je vois l’effet que cela lui fait quand j’ai été encore vilaine et il me convoque pour payer ma note. Et surtout ce que cela donne le soir au lit. Je pense que le décalage entre ma punition et la consommation du pardon ajoute encore un piment de plus.

    De toute façon, fessée récuse ou donnée, la médicine moyenâgeuse ne semble pas se tromper sur le fonctionnement de ces messieurs…

    J’ai bien lu… ? Vous avez inclue la fessée dans votre rapport de recherche ?

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    1. Par contre, si j'en crois L'Histoire naturelle de Buffon, la fessée ne guérit pas l'érotomanie féminine, que la médecine du siècle des Lumières affublait du syntagme de "fureurs utérines" : "J’ai vû, et je l’ai vû comme un phénomène, une fille de douze ans très-brune, d’un teint vif et fort coloré, d’une petite taille, mais déjà formée, avec de la gorge et de l’embonpoint, faire les actions les plus indécentes au seul aspect d’un homme ; rien n’étoit capable de l’en empêcher, ni la présence de sa mère, ni les remontrances, ni les châtimens..." Je crains que les "châtimens" n'aient fait qu'aggraver encore le mal !

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    2. Merci pour cette fort instructive trouvaille historique, cher Monsieur Tom. Je me joins a votre avis.A croire que la fessée ait inspiré les penseurs de toutes les époques...

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  3. Voui, j'ai inclus. J'étais presque obligée, parce que ça collait avec le reste, mais je n'ai pas insisté lourdement non plus. Après tout, si des médecins du XIII° siècle l'ont recommandé de toute bonne foi, je me devais d'en parler moi aussi. On ne s'imagine pas, mais c'est une question centrale: en ce temps là, une des deux seules possibilités de dissoudre un mariage, c'était l'incapacité du couple à se reproduire (l'autre étant une trop grande consanguinité). Partant de là, la fessée appliquée comme remède à l'impuissance est un ciment pour le couple!

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  4. Vous avez bien fait d’en parler à la fac. Dommage que vous n’en parlez pas sur votre blog. C’est un sujet de tonnerre et après tout le sujet de votre blog c’est bien la fessée, non ? Simon devrait vous donner une colle pour passer à côté je trouve.

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  5. Mais euh! C'est pas juste!
    Bon, dans l'absolu, je n'aurais rien contre, mais pour le moment, Simon est puni! (Ce gosse est intenable).
    Et j'ai reçu ma dernière fessée il n'y a pas si longtemps, il y a même des photos pour le prouver. (C'était pas juste non plus).

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  6. Sacré Simon. Je suis impressionnée par votre dynamique de punitions mutuelles dans la joie et dans la bonne humeur.

    Pour ma part ce serait plutôt l’un ou l’autre. Je me verrais mal de réconcilier les deux dans mon couple.

    Ceci dit je crois que je serais soit une mère fouettarde très sévère, soit une épouse de plus exigeante (ce qui ne change en fait rien à ce que je suis), soit le plus plausible un savant mélange des deux. Peut-être parlerais-je un des ces jour de mes fantasmes dans ce sens.

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  7. Bj je suis un homme qui reçoit regulierement la fessee par ma femme et sa mere à la ceinture et autres je peut vous dire que ce n est pas du tout un fantasme c est comme çà

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  8. Cher Michel, je ne peux que vous féliciter pour vivre aussi sereinement votre monde fantasmatique.Vous me semblez être bien gâté par vos dames!

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  9. Comme on dit en Allemagne: C'est la fête du derrière chez vous!

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