J’ai beaucoup apprécié que mon homme me fasse des telles
confidences sans langue de bois ni fausse pudeur. Avec quelques effets
intéressant sur mon psychisme.
- Dotant ainsi Monsieur à mes yeux d’une vraie crédibilité pour
exercer sur mes fessées le dur labeur d’un éducateur « très spécialisé »
en bonnes manières. J’ai l’impression de m’avoir confiée à une personne sérieuse,
connaissant les ficelles du métier de font en comble car acquises par une longue
formation personnelle qui n’avait pas manqué de pratique sous forme de fessée
appliquée.
- Son histoire s’est emparée de mon imaginaire, vide de
souvenirs réels datant de mon enfance ou adolescence et par ce fait assoiffé de
connaître ceux des autres. Seulement, mon voyeurisme par procuration déforme le
vécu qui n’est pas le mien et dans mes rêveries mon homme joue son rôle…à l’âge
adulte, tel que je le vois tous les jours devant moi…sauf qu’il a le pantalon
aux chevilles !
- La ceinture a enflammé ma fantaisie dans laquelle je suis
convoquée soit par mon homme, soit par ma belle mère au salon, pour baisser ma
culotte et me pencher sur le dossier du canapé pour un rappel de discipline
avec la ceinture familiale.
- Un superbe coup de fouet sur nos libidos respectives le soir
des confidences…
J’ai pu aussi me familiariser avec l’autre versant de
l’histoire, par ma belle mère qui me ravissait et me ravit encore avec des
anecdotes croustillantes dans lesquels Monsieur ne fait pas bonne posture.
Ses petits malheurs me font rire de bon cœur, car recevant
moi-même une éducation stricte à l’ancienne je n’ai aucun mal pour me mettre au
cœur de la situation décrite et de toutes les péripéties qui accompagnent ce
style de vie. Ce n’est politiquement pas correct, mais cela m’amuse énormément
et je n’hésite pas de relancer ma belle mère pour d’autres détails.
Un jour, fortement agacé par mes moqueries incessantes, mon
homme demanda à sa mère s’il ne pouvait pas emporter ce qui était appelé chez
eux :
La réglementation de la maison.
En précisant :
Elle n’arrête pas de se passionner
pour cette ceinture, isabelle. Je crois cela lui ferait plaisir de l’avoir chez
nous.
Et voila comment est arrivé la ceinture de ma belle mère
dans notre ménage.
En effet, chère Isabelle, vous avez très bien abordé la question. J'admire votre homme d'avoir demandé la ceinture à sa mère. Je n'oserais pas en faire autant, par crainte de m'exposer au récit de quelque anecdote où je ne suis pas non plus en bonne posture. Ma mère ne rate jamais une occasion. La dernière fois, c'était à propos de la loi anti-fessée : "Il ne manquerait plus qu'on m'interdise de fesser mon grand garçon si j'en ai envie", a-t-elle plaisanté. Cela dit, elle était loin d'être aussi sévère que votre belle-mère : à la maison, la fessée était plutôt l'exception que la règle (sans faire de jeu de mot !).
RépondreSupprimerHein bien, je sais me montrer très insistante. Alors mon pauvre homme il n'avait pas d'autre choix. Rire! Ceci dit quand ma belle-mère raconte les anecdotes, il n'est pas très à l'aise. Même si c'est comme chez vous exprimé sur un ton de plaisanterie. Je crois que personne n'aime se vanter de ses fesses reçues.
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