jeudi 26 avril 2012

51 La ceinture de ma belle mère 2


J’ai beaucoup apprécié que mon homme me fasse des telles confidences sans langue de bois ni fausse pudeur. Avec quelques effets intéressant sur mon psychisme.    

- Dotant ainsi Monsieur à mes yeux d’une vraie crédibilité pour exercer sur mes fessées le dur labeur d’un éducateur « très spécialisé » en bonnes manières. J’ai l’impression de m’avoir confiée à une personne sérieuse, connaissant les ficelles du métier de font en comble car acquises par une longue formation personnelle qui n’avait pas manqué de pratique sous forme de fessée appliquée.

- Son histoire s’est emparée de mon imaginaire, vide de souvenirs réels datant de mon enfance ou adolescence et par ce fait assoiffé de connaître ceux des autres. Seulement, mon voyeurisme par procuration déforme le vécu qui n’est pas le mien et dans mes rêveries mon homme joue son rôle…à l’âge adulte, tel que je le vois tous les jours devant moi…sauf qu’il a le pantalon aux chevilles !

- La ceinture a enflammé ma fantaisie dans laquelle je suis convoquée soit par mon homme, soit par ma belle mère au salon, pour baisser ma culotte et me pencher sur le dossier du canapé pour un rappel de discipline avec la ceinture familiale.

- Un superbe coup de fouet sur nos libidos respectives le soir des confidences…

J’ai pu aussi me familiariser avec l’autre versant de l’histoire, par ma belle mère qui me ravissait et me ravit encore avec des anecdotes croustillantes dans lesquels Monsieur ne fait pas bonne posture.

Ses petits malheurs me font rire de bon cœur, car recevant moi-même une éducation stricte à l’ancienne je n’ai aucun mal pour me mettre au cœur de la situation décrite et de toutes les péripéties qui accompagnent ce style de vie. Ce n’est politiquement pas correct, mais cela m’amuse énormément et je n’hésite pas de relancer ma belle mère pour d’autres détails.

Un jour, fortement agacé par mes moqueries incessantes, mon homme demanda à sa mère s’il ne pouvait pas emporter ce qui était appelé chez eux :

La réglementation de la maison.

En précisant :

Elle n’arrête pas de se passionner pour cette ceinture, isabelle. Je crois cela lui ferait plaisir de l’avoir chez nous.

Et voila comment est arrivé la ceinture de ma belle mère dans notre ménage.

2 commentaires:

  1. En effet, chère Isabelle, vous avez très bien abordé la question. J'admire votre homme d'avoir demandé la ceinture à sa mère. Je n'oserais pas en faire autant, par crainte de m'exposer au récit de quelque anecdote où je ne suis pas non plus en bonne posture. Ma mère ne rate jamais une occasion. La dernière fois, c'était à propos de la loi anti-fessée : "Il ne manquerait plus qu'on m'interdise de fesser mon grand garçon si j'en ai envie", a-t-elle plaisanté. Cela dit, elle était loin d'être aussi sévère que votre belle-mère : à la maison, la fessée était plutôt l'exception que la règle (sans faire de jeu de mot !).

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  2. Hein bien, je sais me montrer très insistante. Alors mon pauvre homme il n'avait pas d'autre choix. Rire! Ceci dit quand ma belle-mère raconte les anecdotes, il n'est pas très à l'aise. Même si c'est comme chez vous exprimé sur un ton de plaisanterie. Je crois que personne n'aime se vanter de ses fesses reçues.

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