mercredi 21 septembre 2016

938 Ce soir ce sera la fête (Petite fiction ou non)

T'as pris ton pied pour m'emm..der la vie, isabelle, maintenant je prendrai le mien en me rinçant l’œil.

Mon homme aime parfois m'infliger en sortant de mon coin du ménage toute nue ou habillée de manière très sexy. Infliger c'est peut-être un peu exagéré. Il sait que je connais ses préférences et compte sur mon ingéniosité pour le surprendre. Il ne prétexte pas une philosophie éducative ou une élévation spirituelle pour que j'accomplisse cette punition supplémentaire... mais pointe sur les évidences. Ben oui, la poésie de la ménagère sexy au fesses toutes rouges le titille fortement.

Un glaçon pour apaiser la paume de ta main, mon chéri ? Tu dois avoir mal après la fessée que tu viens de m'appliquer !

Comme d'autres hommes de sa génération, il a gardé la nostalgie pour les indiscrets aperçus de l'anatomie féminine via les souvenirs de sa maman ou des voisines en faisant le ménage pendant son enfance. Une jupe ou robe qui remonte en passant l'aspirateur, dévoilant ainsi un haut de bas, frontière où commence le territoire du papa. Voila la version sexy du complexe d’œdipe. Pour trouver un heureux dénouement, il faut que le petit garçon abandonne ses illusions d'une exclusivité de sa Maman à son service. Il faut qu'il comprenne aussi que c'est en imitant son papa qu'il puisse un jour espérer d'explorer à son tour la terre promise. Mon homme se souvient d'ailleurs fort bien d'avoir observé son géniteur glisser sa main sous la jupe de maman pour s'avancer vers ce qui reste défendu au petit garçon.

Quand je serais grand, je ferai comme papa !

Voici venu le temps que mon chéri peut enfin réaliser ses fantaisies de jadis. Il veut voir, il veut toucher aussi. Ben oui, c'est cela une relation amoureuse et charnelle entre adultes. J'aime beaucoup sa sollicitude, car cela met du piment dans notre couple. J'adore particulièrement la sensation de sa main qui remonter le long de mes jambes pour se perdre sous mes jupes droites. C'est un peu étroit comme endroit et il faut se serrer pour un petit plaisir qui agrémente le quotidien.

Tiens, tu as mis une petite culotte aujourd'hui, isabelle ?

Devine sa couleur !

Nous voilà partis pour un jeu de piste. Mon chéri en me tripotant et moi en rigolant bêtement. J'aime bien rigoler bêtement quand je trouve une sensation sexuellement agréable. De toute façon je sais que ma très vaste gamme de rires et le fait que je sois souriante et de bonne humeur dès mon réveil, est source d’émerveillement pour mon homme. Puis j'ai le sens de m'amuser et de me laisser taquiner. Combien de fois je me fais pencher sur ses genoux pour une petite fessée « joie de vivre ».

Puis, si c'est possible il ne va pas se gêner pour mettre mes fesses à nu pour une plus belle sonorité.

Habituellement la fessée me désinhibe, bien que selon mon homme ce soit déjà pas mal sans, à l'état naturel quoi. Donc quand je sors du coin après une bonne fessée punitive l'effet est décuplé. J'aime me produire aguichante devant lui et le prétexte de la punition interdit un tripotage surprise. Chez nous la bonne correction se respecte. On touche uniquement avec les yeux, ce qui n'est pas sans effet secondaire sur nos émoustillements réciproques.

Vu ma nudité au bon endroit, je ne puis lui cacher que je suis en train de jouir littéralement de la situation.

Mon entrejambe de plus lisse, brille de sa moiteur naturelle. Il m'arrive aussi de mettre une crème luisante et la sensation de sentir tout glisser en faisant un travail de frottement comble mes aspirations névrotiques. Le tout pour pouvoir m'adonner à une perversité éhontée, une transgression suprême de nos codes sociaux, le fantasme de la dame qui aime s’occuper de son foyer, de sa famille, de son homme. Le plaisir de balancer mes fesses toutes rouges devant ses yeux, le plaisir de lui offrir des inévitables aperçus de plus indécentes de mon intimité.

J’assouvis mes tendances névrotiques sans me sentir coupable, car n’oublions pas que je viens juste recevoir ma punition !

Passer l'éponge, frotter et cirer avec ardeur, activités hautement rythmiques que dit-on se conçoivent chez certaines dames comme des équivalents masturbatoires. Me concernant, je confirme que je suis sensible à l'érotisme sur un mode Bree Vandenkamp.

Désespérée, avez vous dit désespérée ?

Certainement que non, car de l'autre côte je sais aussi que mon homme sera au top de sa forme le soir au lit.

2 commentaires:

  1. Bonsoir Isabelle,

    Pour résumer, le petit garçon est innocemment curieux.
    Et le papa plutôt... amoureux... ou vicieux... ou vicieusement...amoureux ?
    Enfin, son for intérieur de "grand garnement très turbulent" y trouvera sa réponse. Rires. Mais la maman l'y aide souvent un peu... beaucoup... passionnément.
    Rires. Ah les Femmes !! Délicieux tourment de notre existence...
    Mac-Miche

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  2. Je ne sais pas si le petit garçon est innocemment curieux. Quand on voit les théories sexuelles des enfants ce n'est pas de tout repos et ne manque pas "d'originalité". Quoiqu'il en soit ce sera plutôt cette parti conservée dans l'adulte qui demandera satisfaction d'où la belle part du vice qui est en fait une mauvaise compréhension de ce qui se passe entre adultes...

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