jeudi 16 juin 2016

894 Fessée pour nudité provocante 2


Au fil des années mes rêveries de fessée pour nudité aguichante se sont collées dans un décor de glamour sexy.

C'est la vie de tous les jours qui ajoute les ingrédients. Les magazines spécialisés pour montrer des filles plus ou moins dénudées étaient un véritablement phénomène de société à partir des années 70 en Allemagne. On en trouvait presque partout, dans les familles jusqu’à dans les salles d’attentes de pas mal de docteurs.

Pour mieux comprendre le contexte de l'époque voici un peu d’histoire…

La libération sexuelle des années 70 va de paire avec la révolution commerciale et l’arrivée de la consommation de masse. Il n’est pas étonnant alors que « l’industrie coquine » cherche à profiter de cette manne par des magazines les plus divers. Pour faire du grand tirage, il faut échapper à la censure. Présenter les choses d’une telle manière que les images ne choquent pas le grand public. Ou heurtent la sensibilité des mineurs.

En Allemagne la recette est simple. On mêle la nudité à toutes les sauces pourvu qu'il y ait de l'humour. Il est seulement interdit de montrer des parties génitales explicitement. A cette condition le magazine peut être vendu n’importe où et acheté par n’importe qui. Ce qui veut dire en clair que les messieurs par la spécificité de leur anatomie ne se prêtent pas à ce genre de publication. Pour les femmes c’est beaucoup plus simple. Elles sont dotées selon les méandres de la législation allemande d’une censure intégrée :

Les poils pubiens suffisent pour cacher ce qui est interdit de montrer.

Il en va de soi que les allusion au rasage pubien ne manquaient pas. Petit frisson à l'évocation d'un interdit et d'une limite à ne pas dépasser qui de nos jours donne un air rétro à ses publications avec ces dames aux toisons très fournies. Depuis dans ma génération l'épilation intégrale à fait un raz-de-marré en Allemagne. Toutes mes copines ont cédé à cette mode.

Ces magazines coquins ont a fertilisé mon imagination. On aurait dit des filles à moitié nues avec des sous-vêtements affriolants en déguisements de carnaval : Soubrettes, policières, militaires, danseuses, infirmières etc se dévoilèrent de manière assez impudique sans toutefois tout montrer. (A défaut de magazines allemands accessibles j'ai mis des liens de leurs équivalents anglais qui vont tout de même un peu plus loin). Laissant planer le doute (surtout pour un enfant) si au fond il ne s'agissait qu'une ambiance de fête entre filles. Ces magazines passaient bien parce que l’accent était toujours mis sur un humour « joie de vivre ». Calqué sur ce modèle, dans mes fantaisies...

... intervenait toujours une personne d’autorité, très en colère, homme ou femme, peu importe qui mettait une fin à ce qui semble ludique en appliquant une claquante fessée à chacune des participantes.

Il y avait également quelques rêveries concernant les fessées dans les vestiaires de filles. Comme la punition d’une rapporteuse ou des actes motivés par la rivalité ou jalousie. L'accent étant mis sur le côté humiliant de la fessée et nettement moins sur le côté sensuel.

A suivre...

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