mardi 5 mai 2015

699 Jeux de bâillon et sodomie

(Suite de : 688 Tapage nocturne)

Quel programme mon chéri ! Mais pourquoi veux-tu mettre de la vaseline sur ce joli bâillon ?

J'ai vu son visage s'illuminer, façon grand méchant loup qui se délecte du plaisir quasi charnel que lui procurent mes bourdes, parfois monumentales. Pour ma part quand je capte enfin une de mes bêtises, je chope bien souvent un incontrôlable fou-rire. Bêtasse à souhait, certes, sans toutefois manquer un sacré effet de séduction sur une certaine partie de la gente masculine comme j'ai pu m'en apercevoir dès mon adolescence. A croire que les filles avec une bonne dose de naïveté, ne manquent pas de public bienveillant et ne pas le moindre. En tout cas, ce charme qui m'est particulier, opère à la merveille sur mon homme. Et parce j'ai une nature exubérante, mon rire s'entend de très loin. J'imagine donc mes parents qui ne doivent pas ennuyer au salon avec les prouesses de leur fille. Ceci dit, ce jour-là, le son sera coupé instantanément dans un petit instant. Mon souffle retrouvé, j'avais envie de taquiner mon chéri :

Tu souhaites me prendre par voie rectale ?

Allons, allons ! Ne me croyez pas tous ce que vous lisez sur mon blog. Je ne suis pas aussi coincée. Je n'aime pas la grossièreté verbale pendant les ébats, ni dans les discussions, mais pour mieux désigner une situation, je sais me montrer ponctuellement explicite. Voila qui donne :

Tiens donc, tu n'aurais pas une féroce envie de m'enc*uler et tu as peur que je vais réveiller toute la maison par mes cris !

Puis sans attendre de réponse, j'ai pris le temps d'examiner l’objet. Un joli jouet qui sentait bon le cuir avec un coussinet en forme d'un étrange champignon. A vrai dire, en regardant mieux on aurait pu dire quelque chose ressemblant à un sexe d'homme, plutôt au repos vu la taille. Petit fou-rire de plus de ma part, en imaginant déjà l'obscène de la situation. Une fois en bouche, cette partie caoutchouteuse - comme j'ai pu m'en apercevoir plus tard - se révéla agréable au mordant si j'ose dire et j'avais l'impression d'une sorte sucette pour adultes que l'on colle sur la bouche de la dame pour la faire taire. Le tout accompagné d'une sangle ajustable pour un maintien impeccable.

J'ai pris mon temps pour me déshabiller de manière très sensuelle, pour chauffer la salle, avant de me glisser dans une position de levrette prosternée qui laissa à mon homme une vue imprenable sur mes parties intimes.

Tu me le mets chéri !

Je parlai bien entendu du bâillon, aussi agréable à porter qu'efficace dans sa fonction primaire, ne me laissant que la possibilité d'émettre quelques râles rauques. Étant une pipelette comme pas permis, j'ai trouvé vite très agaçant de m'exprimer dans une tonalité en sourdine, parfaitement incompréhensible. Quelque peu énervée, je n’arrentai donc pas de gigoter. Spectacle visiblement très apprécié par mon chéri qui avait mes fesses devant son nez. D'abord il se moqua de moi en me demandant si j'étais en train de lui faire des clins d’œil avec cette partie de moi qui est à l'honneur dans ce texte. Expression qui me marqua au point de la sortir un jour malgré moi dans une discussion de plus sérieuse...

...en parlant de mes clins d’œillet.

Puis pris d'une envie soudaine, il se laissa aller à un imprudence qui ne lui correspond pas. Une magistrale claque sur mon derrière, une dont on se souviendra pendant longtemps et qui résonna dans ma chambre de jeune fille et par extension... encore au salon de mes pauvres parents. Ce n'est pas la claque qui a été perturbante pour eux, mais l'étrange silence qui l'entourait. Si inhabituel pour leur fille qui ne se manifesta ni par ses rires, bêtasses ou inspirés, ni par ses vocalisations retraçant fidèlement son état d'excitation.

Mon homme profita longuement pour me préparer aux choses à venir.

J'aime quand il me passe « la pommade » sans se montrer pressé.

Et malgré ma grande sensibilité à l'érotisme de l'arrière porte, il me faut tout de même une bonne préparation pour pouvoir participer moi aussi dignement aux réjouissances. Rien ne me détend mieux dans cette situation qu'une main baladeuse. Mais j'aime surtout quand mon homme se glisse en moi, délicatement, très doucement en mettant sous tension les terminaisons nerveuses une par une. Au début il s'agit d'une sensation étrange, de quelque chose qui n'est pas à la bonne place, qui cherche un chemin dans une voie étroite. Puis se crée une sensation de plus en plus agréable.

Sorte de réveil de la belle au bois dormant qui rencontre l'excitation qui se cultive par de langoureux va et viens.

Peut-être elle n'attendait pas son prince charmant dans cet endroit précis, car après tout comme l'enseigne leur histoire ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Mais à mes yeux le sens d'entreprise, le courage de s’aventurer sur les terrains inexplorés et la bravoure de quitter la conventionnalité, sont indéniablement des qualités dignes d'un prince. Et quoi de mieux qu'une sensation toute nouvelle pour inciter la belle a souffler, ne serait-ce que la bouche en cul de poule, un enthousiaste :

...ô mon prince !

Dans un registre moins romantique, j'ai parfois l'impression que la maîtrise parfaite de la sodomie s'apparente à celle du vélo et ceci pas uniquement à cause de la position haut perché du monsieur . Non !

Je trouve qu'une sodomie réussie peut se passer des mains !

Que ce soit celles du monsieur ou de la dame. Ce jour-là, bien au début de notre vie couple, j'ai émerveillé mon chéri par ce qu'il croyait une prédisposition polymorphe perverse de jouir. J'ai dû lui expliquer plus tard que cela s'apprend et il a surtout voulu savoir comment cela s'apprend. Depuis, s'il me trouve délicieusement vicieuse, je pense qu'il doit avoir ses raisons. Nous avons gardé le bâillon qui sert encore. Parfois chez mes parents pour éviter le tapage nocturne, mais surtout à la maison quand mon homme souhaite que je la boucle pendant un moment... pour lui foutre la paix!

26 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    "Qui s'y frotte s'y pique" . Rires. Un vrai mode d'emploi et une belle leçon...conjugale. Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  2. Isabelle, j'ai une petite question pour vous. Chez nous la sodomie est généralement précédée d'un petit lavement (répéter tant que ça revient trouble) et d'une petite (plus rarement d'une grosse) fessée, et bien sûr d'une lubrification minutieuse et profonde, qui détend l'endroit.

    Cette claque mentionnée laisse supposer que vous pratiquez aussi la fessée préparatrice?

    Par contre chez nous jamais de baillon!

    RépondreSupprimer
  3. Je ne pense pas que nous sommes dans un contexte de fessée. Vu sa position pendant cette pratique, la main démange parfois mon homme pour m'appliquer une ou plusieurs fortes claques pendant l'acte surtout.
    Mais il n'y a pas de fessée préalable propre ment dit.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah chez nous quelques claques sur les fesses mettent le derrière en posture de soumission. ;-) Le lavement et la lubrification ont, outre leur fonction d'hygiène et de confort, pour but aussi de bien marquer cette soumission.

      Parfois, la s*domie m'est appliquée pour faits de machisme, et alors elle est précédée d'une vraie fessée!

      Supprimer
  4. Pour ma part je ne verrais pas les claques sur mes fesses en rapport avec une soumission, mais comme un stimulant « méchanique » de la libido, sorte de caresse ardente qui par sa brûlure inonde mon bassin de chaleur. Dans les « contextes pénétration », je ne pense rien et je me laisse aller. Il en va de soi que je comprends de l'autre côté votre position. Je crois que sur ce point il y a une différence fondamentale d'appréciation sur ce qui arrive entre un homme et une femme.

    RépondreSupprimer
  5. Voici le point de vue de mon épouse sur la sodomie:

    L'endroit "normal" pour le rapport sexuel, c'est le vagin, et le pénis et le vagin vont bien ensemble (forme, lubrification..). Le clitoris et le vagin sont les lieux de plaisir de la femme. Il y a de la fierté à montrer son pubis (raison pour laquelle nous aimons sur le mont de Vénus une touffe bien taillée).

    À l'inverse, l'anus est honteux. Montrer son anus, se le faire pénétrer, sont des formes de soumission. Et c'est le "vice", car on pourrait passer par la voie normale.

    RépondreSupprimer
  6. Effectivement ! J'ai un faible pour le vice et je suis vicieuse au point de prendre plaisir physique en utilisant les voies parallèles. Rire ! Parfois il m'arrive selon la situation de ressentir une légère honte. Style question posée entre amis : Tu es plutôt vaginale ou clitoridienne, isabelle. Et c'est mon homme qui me devance en disant : Elle est surtout rectale ! Disons la sexualité n'a pas été un tabou chez mes parents et ma maman aussi avait/(a encore?) de jolis objets qui se glissent dans le derrière.
    Quoiqu'il en soit, je n'ai nullement un sentiment de soumission quand je présente mon derrière à mon homme...seulement d'un vice partagé !

    RépondreSupprimer
  7. lle ajoute que le derrière c'est, comme chez Rousseau, "l'objet honteux"... on le montre pour recevoir la fessée! L'anus, encore pire, on le montre pour recevoir le thermomètre ou le suppo comme une gamine!

    Donc le derrière est vraiment honteux et il y a de la honte à vouloir s'y faire enfoncer quelque chose. D'où la fessée pour "vice".

    RépondreSupprimer
  8. Votre dame a raison comment bien souvent. Pour mieux élucider ce sujet pensez aussi à l'idéal que l'on se fait de soi-même et selon lequel on se souhaite dépourvu de ce qui est vil ou sale littéralement. La honte se crée justement parce que ce qui est contraire à notre idéal nous attire malgré nous par le fait de nous procurer une intense émotion, voire une excitation.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Le vagin c'est le trou des femmes, l'anus celui des vilaines filles (et des vilains garçons)."

      Supprimer
  9. Réponses
    1. Oui, je crois que cette phrase date d'une époque où mon épouse ne maîtrisait pas encore bien la langue française. ;-)

      Le "devant" est parfois un sujet de taquinerie lorsque l'excitation est visible ou du moins sensible au doigt, mais au moins c'est la partie noble et "adulte" (par exemple, bon nombre de femmes ne prennent conscience de l'existence du vagin qu'à la puberté). Le pubis a de la dignité.

      Le derrière est le lieu de la saleté, de la fessée, de l'infantilisation (déjà petit on sait qu'il y a là un orifice sale). Prendre plaisir à être touché par là, ou s'exciter à cette perspective, relève du vice, de la perversité... comme prendre plaisir à être fessée comme un vilain ou une vilaine!

      Supprimer
  10. D'ailleurs, il y a deux choses qu'elle trouve particulièrement honteuses (du genre à le demander en baissant les yeux):
    - demander une fessée
    - demander à ce que je "passe par derrière".

    Parfois elle fait la demande de fessée sur un air plus provocateur, "chipie"... mais le rectal est toujours honteux!

    RépondreSupprimer
  11. Il m'importe beaucoup que la sodomie (comme la fellation complète d'ailleurs) fasse partie de ma vie conjugale. Cela comble mon fantasme de vivre avec un homme, un vrai qui sait se montrer de plus viril et prendre des décisions importantes. Je me retrouve dans votre conception du vagin en étant la partie noble. Mais je dirais qu'un anus s'anoblit. J'entends par-là que je me sentirais honteuse de le présenter non-épilé (d'où mon épilation définitive aussi) ou sans une préparation style lavement avant les rapports de ce côté. J'aime également la gym rectale pour donner du tonus et du mordant. Après ces préparatifs par contre, j'éprouve un vrai plaisir de présenter cette partie aux yeux de mon homme. Pas la moindre « trace » de honte...

    RépondreSupprimer
  12. Ah, la fellation complète est chez nous assez rare, tant est notre goût commun pour les délices vaginaux.

    Chez nous la honte de "l'arrière" passe aussi par la nécessité de le présenter pour les préparatifs. Vous mentionnez la "préparation style lavement": quand mon épouse était enfant elle en recevait parfois (sans excès) pour la "déboucher", de sorte que cet acte est chez elle associé à une certaine infantilisation...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. «  Nos données » de base sont différentes, cher Monsieur Pécan. Moi j'ai connu le lavement par les dires et expériences de ma mère qui s'en servait en suivant la mode des années 80 pour le bien-être naturel. Donc on ne m'a jamais imposé cette pratique. J'ai essayé, poussée par ma propre curiosité...

      Supprimer
    2. Oh, "imposé"... On est loin dans ce qu'elle raconte de son enfance de ces récits (réels ou imaginaires) du Web américain où la maman impose des lavements malgré l'opposition véhémente de l'enfant. Après tout, rien ne l'obligeait à aller dire à sa mère qu'elle se sentait constipée...

      Reste que, même si c'était sans chichis et pour être soulagée d'un désagrément réel, ça reste pour elle associée à montrer ses fesses à maman pour qu'elle y mette la canule et à entendre maman lui demander si ça allait mieux après.

      Supprimer
    3. Merci pour ces précisions. Je me souviens notamment d'une scène dans Macadam Cowboy qui a dû déformer un peu mes idées sur les Etats Uni. Je ne voyais pas un enfant demander à sa mère un lavement.

      Supprimer
    4. Vous pensez certainement à cette scène:
      https://www.youtube.com/watch?v=HBHTljUmSuQ

      On y voit le héros revoir des scènes de son enfance, quand il était élevé par sa grand-mère:
      - il reçoit une fessée, visiblement tout nu (et pas seulement cul nu)
      - il reçoit un lavement, d'un sac de 2 quarts (ce qui semble trop pour un enfant) rempli, avec une canule vaginale (dont la forme de croix est désagréable dans l'anus; et plus longue et plus épaisse qu'une canule rectale).

      Cela me paraît assez malsain, non? Je lis sur un autre site que sa grand mère, ancienne prostituée maltraitée par des hommes, à son tour maltraitait son petit-fils.

      Cela me semble assez éloigné du cas d'une petite fille constipée qui a une selle douloureuse ou se sent "bouchée" et qui le dit à maman, ou qui a mal au ventre, et qui reçoit une quantité modérée d'eau pour la soulager.

      Supprimer
    5. Oui, j'ai pensé à cet extrait et qui relate un contexte de plus malsain et injustifiable. Il en va de soi que le lavement en cas de constipation, appliqué sur demande n'a rien en commun avec ce film.

      Supprimer
    6. Pour autant que mon épouse s'en rappelle, elle n'a reçu de sa mère que des lavements en quantité modérée, avec la canule adaptée et lubrifiée, pour cause de constipation ou de "ventre chargé". C'est loin dans son esprit, mais elle dit qu'il lui semble que cela n'arrivait pas forcément à sa demande: par exemple, elle se souvient avoir été au lit avec mal au ventre et un peu de fièvre et sa mère qui lui annonce un lavement pour la soulager. Elle pense qu'elle aurait pu refuser.

      On est en tout cas loin des récits que l'on trouve ici ou là, qui confinent à la maltraitance... voire en relèvent franchement.

      Dans le genre "mère bizarres", dans le film La Baule Les Pins, la mère insiste pour que ses filles aillent à la selle deux fois par jour et leur fait donner par la bonne chaque soir un suppositoire de glycérine. Même si, heureusement, la bonne se contente de leur donner le suppo et ne l'administre pas elle-même (ce qui fait que les filles finissent par les jeter), pareil comportement maternel me ssemble plus grave et il faudrait probablement en chercher la cause chez une obsession.

      Supprimer
    7. Il y a effectivement la question de la genèse d'un penchant pour de telles pratiques qui se pose. Pour ma part je pense qu'il ne faut pas oublier la piste du terrain favorable et ceci dans deux sens : Au niveau du psychique (une honte est souvent expression d'un plaisir défendu) et au niveau d'une sensation plaisante. Pour ma part ayant découvert cette pratique étant jeune adulte, il y avait déjà prédisposition par la sensibilité de la zone et donc curiosité de voir l'effet. Puis j'ai trouve convaincante cette pratique ne serait-ce que sur le niveau d'agrément. Sans que l'on parle souvent de cela, je suis loin d'être la seule dame qui semble apprécier. Pensez à la cure Xantis qui se vend très bien pour désintoxiquer deux fois par an l'organisme. Je doute que les motivations soient purement « chastes »...

      Supprimer
    8. Dans le cas de ma belle-mère appliquant ce traitement à sa fille, je crois que c'est tout simplement parce qu'elle l'avait reçu enfant et n'en avait pas un souvenir trop désagréable, et aussi parce qu'elle a certains penchants "médecine naturelle, n'abusons pas des produits chimiques".

      Pour mon épouse, comme pour moi d'ailleurs avec les suppos, il est clair que des souvenirs doux-amers d'enfance (soin tout de même embarrassant) se sont transformés à l'adolescence en un désir de retrouver certaines sensations dans un cadre plus adulte. De même, pour la fessée.

      Supprimer
    9. Au fond dans vos pratiques ce sont les remèdes naturelles qui vous apportent le petit plus qui fait tilt. Voila donc un vrai registre bon enfant qui me plait aussi.Je pense que l'on peut inclure la fessée aussi dans les remèdes naturelles chez un adulte qui connait son bienfait. Pour ma part je préfère la fessée aux calmants chimiques. Enfin, il faut toute une démarche pour l'admettre...

      Supprimer
  13. Puisque nous avons beaucoup parlé de quand madame subit la sodomie, celle-ci me demande de vous parler de quand c'est mon cas.

    Madame dispose de phallus à porter: les plus anciens en "ceinture", mais son préféré est un "Feeldoe" qui se tient dans le vagin et qui donc transmet des sensations (qu'elle double d'une ceinture légère qui évite qu'il ne se démonte totalement en cas de mauvais mouvement). En plus, comme elle dit, c'est un excellent exercice de périnée.

    Elle trouve qu'il est excellent pour moi de faire de temps à autre l'expérience de la pénétration. Par contre, contrairement à tous ces films P avec dames en latex, brutales, condescendantes etc., elle le fait de façon douce et attentive, même si parfois il y a un aspect de "rappel disciplinaire" (c'est une partie de ma punition si j'agis en macho).

    Parfois c'est moi qui la demande, quand je me sens en quelque sorte la prostate gonflée, parfois c'est madame qui décide que demain soir je subirai cet acte, parfois je découvre ce qui m'est réservé en voyant lubrifiant, matériel de lavement etc. sortis.

    RépondreSupprimer
  14. Vous et votre dames vous étés adultes et libre à vous de donner la connotation que vous souhaitez à la « sodomie inversée ». Effectivement elle peut se considérer comme disciplinaire, mais aussi comme un plaisir de sensation. Disons que pour ma part je me verrais pas d'inverser les rôles, mais il ne s'agit en aucun cas d'un jugement quelconque. C'est l'idée qui ne fait pas tilt dans ma tête. Par conséquence je ne possède aucune expérience sur ce terrain, ni sur le matériel à utiliser.

    RépondreSupprimer