mercredi 31 juillet 2013

376 Punition conjugale 2




Ah le martinet qui m'attend dans l'étude de mon homme

Je lui suis fidèle comme je suis fidèle à mon homme. Après mon chéri et mon papa je dirais que c'est en quelque sorte mon troisième plus grand amour. Et il en va de soi que nous avons dépassé depuis très longtemps les fameux 400 coups. Je me souviens quand j'étais jeune adulte, d'un texte qui vantait la France comme un pays exemplaire pour la facilité de se procurer un martinet. Veut dire un pays qui affichait ses méthodes éducatives sans hypocrisie et complexes. Contrairement à d'autres pays il n'y avait pas besoin d'aller dans une « boutique spécialisée pour adultes ». Et par exemple en Angleterre il y avait un grand scandale dans le temps parce que leur éducation nationale se procurait justement leurs instruments dans des telles boutiques. Bref en France il suffisait de se rendre dans une quincaillerie, un magasin de bricolage, jardinerie ou supermarché pour en trouver. Moi aussi j'ai encore connu cette époque. Quelle commodité quand l'ancien martinet était trop usé, d'avoir la possibilité d'acheter un nouveau au supermarché le plus proche de chez soi. C'est agréable de pouvoir le glisser parmi ses courses comme un objet faisant partie intégrante du quotidien. Le goût pour la discipline affiché au grand jour. Certes la qualité de ces modèles est moindre. Notons qu'il ne s'agit pas non plus d'un instrument destiné pour soirées entre sadomasochistes endurcis, mais d'un outil de dissuasion et d'éducation, tel que l'on la considérait dans le temps. Enfin depuis quelques années, il est plutôt rare d'en trouver. Mais il suffit parfois de demander dans certaines quincailleries, s'il ne leur restent pas des invendus. Zut, je me suis encore égarée...

Alors me voilà déculottée, nous entamons la marche de la honte ou la parade de la honte comme aime dire mon homme. Direction de son étude. Bien entendu c'est moi qui passe devant selon la devise :

Ladies first !

Bien que je le soupçonne sous ses allures de parfait gentleman de se moquer de mon échec de bon comportement. Confirmé par une de ses allusions favorites que je rentre toujours pour mes punition dans son étude avec la tête toute rouge et que je ressorte transformée, les fesses et les yeux toutes rouges. Parfois, en allusion à mes goûts pour la psychanalyse, il parle aussi d'une situation de retournement, d'une excitation qui m'est montée à la tête, facilement visible car signalée par un fort flux sanguin qui procure la jolie couleur rouge dans mes joues. Ô comme c'est gratifiant pour un éducateur de voir de telle manière le consentement de son élève qui se délecte de la stricte discipline qui caractérise son quotidien. Retournement vers le derrière, littéralement mon derrière et qui va prendre pour son grade. Passage du stade oral, trahi ma langue de vipère, au stade "posterieurien", lieu même de la punition que nous affectionnons tant. Sans oublier de mentionner l'effet érogène dudit châtiment de ma part, l'émanation même du vice chez les jeunes filles mal élevées et se manifestant par une belle brillance non pas de la réflexion, mais... de l'entrejambe.

Arrête de te fou.. de ma gueule !

Allons isabelle, au pas cadencé, les yeux droit devant et en route vers mon bureau. Je vais t'apprendre les bonnes manières !

J'aime sa façon très particulière d'exercer son autorité éducative, de détendre ou d’enflammer l'atmosphère selon les situations avec ses petites piques qui justement me piquent à vif et me donnent vraiment envie de m'améliorer. Mais je pense que mon échec va plus loin encore que ses apparences. Pendant que je balance mon fessier sur mes hauts talons sous le regard amusé (enfin je suppose car je ne vois pas avec mon postérieur) de mon homme, je suis en train de vivre une nouveau échec qui va s’avérer sous peu très cuisant. Celui de ma séduction qui d'habitude exerce un effet infaillible sur mon homme, mais qui reste inefficace quand j'ai commis une faute. Il faut d'abord expier dans la douleur pour que les choses reprennent leur cour. (Expier dans la douleur, expression d'un masochisme dit génital, d'où la fameuse brillance...isabelle, il y a des claques qui se perdent avec toi !) Et j'ai beau à tendre la pomme, onduler avec ardeur, beau à prendre mine de rien des postures provocantes, beau à offrir des aperçus indiscrets de mon anatomie ce qui est facile sans feuille de vigne, rien n'y fait. C'est une suite de claques pour mon narcissisme avant même que le vraie punition ne commence sur mon derrière. Recalée sèchement dans mes tentatives de séductrice, voilà de quoi pour réveiller la constellation œdipienne de l'échec. Là, je me sens retourner très loin en arrière. Ne pas être considérée digne d'un traitement qui convient à une dame. Remise à une place de petite pisseuse qui ne connaît pas encore les bonnes manières en société ou plutôt qui s'obstine à les ignorer. Mise en garde maintes fois. Passée à innombrables reprises sur les genoux de son éducateur, la jupe retroussée et la culotte baissée, en implorant son pardon et en affirmant de vouloir travailler durement sur elle pour que le mauvais comportement ne se reproduise plus. Envoyée au coin autant de fois avec quel résultat ? Enfin celle-là, je ne l'a pas volée. Je me prépare à la fête de mon derrière comme on dit en allemand. Non, la discipline domestique ne corrige pas tous les défauts. Ma jalousie dans certains circonstances reste incurable et je me fais piéger à presque chaque fois au grand plaisir de mon homme. Revalorisé ainsi par mon acte, comme l'homme de ma vie auquel je tiens et poussé par mon insolence dans la belle position de laisser libre cours à ses penchants d'éducateur. Et moi ayant perdu la face, c'est mon derrière maintenant qui va récolter toute attention. Quand la porte de l'étude se ferme derrière moi avec un son qui m'est si familier, je n'ai plus la notion de mon âge. Je sais seulement que les châtiments corporels s'appliquent toujours dans notre maison et que …

...c'est pas une question de majorité, mais de besoin !


Ps :Mais oui, je suis en vacances, alors je finirai ce texte un autre jour...

18 commentaires:

  1. Petit commentaire : le martinet qui parfois (rarement heureusement) prend connaissance de mes rondeurs postérieures fut acheté par mon mari dans une vraie quincaillerie, il y a quelques 25 ans, alors que l’ainée de ses filles devenait incontrôlable ! Le manche, vraiment pas beau à l’origine, ne s’est pas amélioré avec le temps, mais je garantis que l’engin continue à pouvoir parfaitement remplir le rôle pour lequel il a été conçu !

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  2. Me voilà ravie de trouver encore un couple avec un authentique martinet et non de ceux conçus pour couples en manque de sensations. Pourtant depuis 25 ans il y avait du progrès, le manche est resté toujours aussi peu attractif, mais on en trouvait dans un jolie rose parfois. Du très girlie made in France, des années avant les 50 nuances de gris !

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  3. Le popotin d'une dame soumise à une discipline stricte peut s’avérer une lame à double tranchant.
    Quand sa propriétaire pénitente perd son statut de femme adulte, la pauvre derrière se voit refuser toutes capacités séductrices et renvoyé à son rôle premier, celui qu'il avait lorsque sa vilaine porteuse était encore gamine: servir de cible à la fessée.
    Ce "désamorçage" (bien que simplement apparent) de son pétard de sa charge érotique ramène encore plus cruellement la punie à une position de morveuse, ayant momentanément perdu le privilège d’être une dame, le temps de son expiation.

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    1. Je suis sûre que James serait ravi de devoir écriturer, confortablement installé, déculotté, sur un paillasson! (une acquisition récente).

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    2. Je compose bien mes sujets de réflexion dans la ma tête au coin (rire)! Espérons seulement que le paillasson inspirera James. Ceci dit je n'en reviens pas. Cet horrible truc semble avoir un succès fou.

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    3. Constance sache que tu n'es qu'une langue de vipère...
      Et j’aimerais préciser à l'aimable assemblée que jusqu'ici, il n'y a qu'une écrivaine, par ailleurs talentueuse, qui passe certaine de ses séances de rédaction, les fesses posées sur cette horreur pour motiver le dit talent: toi.
      Photos disponible sur le blog de la vilaine concernée.
      Succès, succès tout dépend du point de vue, Isabelle, il a surtout du succès chez les sadiques compulsifs, les pauvres ères obligés d'y confronter leurs pauvres fessiers sont beaucoup moins dithyrambique. Plus sérieusement, passé les qualités esthétiques douteuse du machin, il s'avère que c'est un excellent moyen de punir quelqu'un à distance, quand vous n'avez pas le derrière de votre garnement ou chipie sous la main, c'est un excellent moyen d'appliquer une correction alliant la cuisance d'une fessée à la honte de l'exposition du coin.Mais dans une correction traditionnelle il peut servir a procurer un temps de piquet absolument pénible en plus d’être humiliant.



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    4. Et vu la longueur des excellents récits de Constance (je crois que Simon est concerné directement aussi!), il me semble qu'une telle séance devrait durer quelques heures. Du moins selon mon propre rythme d'écriture. Brrr pour ma part je préfère le confort de mon canapé. Je comprends bien la signification et l'utilité d'une punition à distance. Et justement ce sera intéressant de savoir quel genre d'association peuvent traverser la tête dans un tel instant.

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    5. Je n'y suis resté pour ma part que pour des séances "courtes" de 20 ou 30 minutes.
      Pour les impressions ressenties par ce type de punitions pendant une séance d'écriture , il faudra demander à Constance et Simon. Mais lors d'une séance purement punitive, c'est à dire mis au piquet mais assis sur le paillasson, les sensations ressenties sont assez semblables a ce que vous décriviez lors de l'administration de vos fessée. On est d'abord troublés et très humilié d'être mis dans la situation d'être punis. Le ridicule du fait de se déculotter et de devoir se mettre au coin est encore renforcé par le ridicule d’être condamné à s’asseoir sur un paillasson.
      Mais cette trouble entre gènes et exitation amener par le fait d'être ramené à une situation de morveux ayant à assumer les conséquences de son mauvais comportement en adoptant une pose de pénitent normalement réservé à des contrevenants de 20 ans plus jeunes que soit et de devoir exposer son derrière comme tout trophée pour son insolence et sa morgue passée et rapidement lessivé par un détail simple. Comme la douleurs des claques de la fessée, la pénibilité d’être assis sur une multitude de petite pointes, faisant peser tout son poids sur ses fesses s’écrasant cruellement sur cette surface irritante, tend à focaliser l'esprit sur cette sensation désagréable, puis simplement douloureuse. D'autant plus pénible que mis au coin vous n'avez aucune distraction et votre esprit n'a rien d'autre à faire que de se concentrer sur la douleurs lancinante qui va croissante avec le temps dont sont victimes vos parties charnues. L'ennui normal du coin est ici converti en piége mental ou votre esprit est amener a se consacrer entièrement à vous rappeler une douleurs à la base benine mais comme elle ne s’arrête pas pendant tout le temps de la correction et que vous n'avez que ca sur quoi penser, l’expérience peut s’avérer profondément désagréable.
      La honte de la déculoté et du piquet ne 'exprimant qu'au moment d'y être envoyé, et les premieres secondes de la punition, puis apres quand assis sur une surface plus clémente votre derrière se rappelle a votre bon souvenir et que même revenu à une situation et une activité normale,il faut bien composer avec le fait d'être l'heureux propriétaire d'un fessier douloureux d'avoir été puni comme un gamin se frotte pitoyablement les fesses après une déculottée (sensation généralement aggravé par Constance qui se paît en plus votre fiole par tchat).
      A noter que la sensation lorsque l'on se lève du paillasson après une période assez longue assis dessus, est elle simplement horrible.

      Mais pour avoir été condamné au paillasson tout en étant autorisé à finir un travail urgent qui n'avait rien à voir avec la punition, la douleurs est beaucoup moins présente lorsque vous pouvez occuper votre esprit à autre chose. Et pour sa part la honte elle ne se laiise pas oublier. La honte du puni doit être encore plus forte lorsque le paillason est imposé pour motivation lors de la rédaction d'un texte, puisque l'écriture qui vous permet de vous évader de la sensation de cuisance ressenties par le derrière n'est plus ici étranger à la punition, il en est la cause. La honte de devoir expier un manquement ou une faute via une correction enfantine appliqué sur les fesses n'en sera que plus grande et plus présente.

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    6. Cher James, merci pour ce formidable exposé sur vos expériences et surtout réflexions sur le paillasson. Ne connaissant pas ce châtiment, cela ne me donne pas envie de le faire et je dirais même que ce ne sera pas productif pour moi. Disons qu'après une punition, le moment passé au coin sert à mettre de l'ordre dans mes émotions et prépare ma réadmission dans le monde des adultes... pleinement adultes. Donc en sortant du coin je suis entièrement réhabilitée et l'incident qui a mené à ma punition est considère comme clos. Persiste toutefois la brûlure dans mon derrière, mais par le fait qu'elle donne des manifestations agréables au niveau de la libido, je me sens en pleine forme et d'énergie débordante.

      Ceci dit dommage que cette expérience se perde dans les commentaire. Alors, si vous le permettez, j'aimerais l'inclure dans un post.

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    7. Bonjour Isabelle,
      je crois que la différence tient en partie au fait que le coin est dans vos sénces disciplinaire un "après-fessée" une conclusion à la vrai punition qui est la fessée et qui vous permet de revenir progressivement de votre retour au stade de petite fille pendant que vous faite pénitence (la femme adulte ayant tout de même un derrière brûlant difficile à ignorer ne lui permettant pas de mettre totalement derrière elle la récente fessée, au moment de reprendre ses activités de grande, je suppose). Mais dans le cadre d'une cyber-punition la pénitence au coin agrémenté du paillasson va s’avérer être la punition en elle même.
      Merci beaucoup pour votre accueil à ce texte. Il contient pas mal de répétitions et quelques maladresses d'écriture mais j'ai essayé de résumer au mieux les impressions liées à cette pratique vu de l’intérieur.
      Aucun problèmes pour la publier en tant qu'article de votre blog, c'est plutôt flatteur. Mais mon commentaire ne concernait que le versant purement punitif de cette pratique disciplinaire, vous devriez peut être demander un complément d'information à Constance et Simon pour la décrire comme méthode de motivation au travail. En plus ça donnera à Simon une excuse pour replacer Constance sur son paillasson, pour la motiver a écrire aujet du dit paillasson, ça sera toujours une mise en abîme savoureuse.

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    8. Je suis toujours impressionnée quand je vois la longueur de certains textes de Constance et de Simon. Vu que je passe ma journée à écrire, j'ai donc une idée assez précise combien de temps il me faudrait pour en faire autant. Alors quand j'imagine que leur écriture se fait parfois sur un paillasson, je comprends bien la signification du rose-violette.

      Je n'y connais rien aux cyber-punitions. Quand mon homme n'est pas là, les souris dansent sur la table comme il aime dire. Il ne lui viendrait pas à l'idée de me demander des pénitences par téléphone. Par contre quand il apprend que j'ai fait des bêtises en son absence, là c'est autre chose...

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  4. Ah quelles jolies formulations, cher James ! Nous sommes pile poil dans une des optiques de mon blog pour donner des dimensions nouvelles par le biais des mots à notre passion. N'avez-vous jamais envisagé à écrire des récits ?

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    1. Merci pour l’accueil de ce petit texte. Je suis content qu'il ai plu. Mais ce n'est en fait rien de plus que la reformulation de l'idée que vous formuliez dans le post auquel est liés ce message. Rien de très original.

      J'ai toujours eu pas mal d'idées de récits en tête mais je ne suis jamais parvenu à m'atteler à la rédaction ne serait-ce que l'un d'entre eux. En plus de mon manque d'experience en matière de pratique de notre sujet qui me semble être un gros handicp pour en parler en évitant les lieux communs des fantasmeurs, l'écriture ne m'est pas vraiment une chose facile, et je ne m'y sens pas très doué.Aussi je n'ai jamais dépassé le stade du simple commentaire sur les blogs qui m'inspirait. Ah ceci, il faut ajouter une légère tendance à la procrastination toujours un obstacle pour ce type d'activité.

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    2. Cher James, il n'y a rien de grave de reformuler. Il m'arrive aussi de reformuler certaines anecdotes et subitement elles prennent une une autre dimension. N'oublions pas non plus qu'un grande partie de la "grande littérature" n'est rien d'autre que des reformulations" autour du sujet de l'amour. C'est notre époque seulement qui comme à chercher caractérisée par une avidité commerciale qui essaye de discréditer beau coup d'oeuvre sous prétexte de s'avoir inspiré ailleurs.

      Pour ma part, je préfère un fantasmeur avec un joli style et des jolies idées qu'un vrai pratiquant qui parle de son vécu sans la moindre fantaisie. Disons que la procrastination est un obstacle très dur à remonter. D'où l'éfficacité de la fessée à ce niveau...

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    3. Merci pour vos encouragements, en effet la procrastination est un fléau pour tout ce qui est écriture de fiction indépendamment du talent alloué au sujet.
      Et votre exposition à la fessée, comme pour Constance vous donnes certainement un avantage sur moi pour dépasser cette vilaine faiblesse. En plus de régler du même coup le problème du manque de vécu.

      Vos considérations sur les réécritures sont très juste mais ceci dit je ne sais pas si réécrire serait suffisant pour produire une fiction digne d’intérêt, il y'a beaucoup de fiction fantasmées tournant sur internet dédiées à la fessées et les thèmes sont souvent les mêmes et donc usés jusqu'à la corde par les plus et les moins douées des écrivains. Apporter des idées neuves ne serait pas un luxe mais il est très difficile de se sortir de ces ornières.

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    4. Je pense que ce qui rend la plupart des fictions sur le net inintéressantes, n'est pas une situation inventée, mais l’absence de crédibilité de la situation inventée. Et pire encore, ce qui « tue » le récit, sont souvent des personnages désespérément vides, avec des personnalités inexistantes qui meublent les décors avec des dialogues sans réel contenu.
      Voila donc une double impossibilité  pour s'identifier autant à la situation qu'à un des personnages. Mais disons que je retiens de votre critique qui me donne envie de construire quelque chose à partir d'un thème archi usé. Je vais voir, si je trouve le temps ce que je peux faire.

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  5. Bonjour Isabelle !



    Je suis tout à fait d'accord avec vous, Isabelle. Et ce serait un scénario idéal pour un illustrateur averti.
    "tel est pris qui croyait prendre", "l'arroseuse...arrosée" .
    Les titres ne manquent pas. A méditer, of course !

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