mardi 12 février 2013

283 Perte de privilèges 2


J'adore le shopping !

J'ai passé une excellente journée pour trouver ce dont j'avais besoin pour faire la surprise à mon homme. Puis la perspective de vivre une situation en rapport avec mes rêveries d'internat m'a mise dans un état quasi secondaire. C'était dans le tout nouveau, tout beau. Et à vrai dire je n'ai pas changé depuis. Quand il s'agit de faire plaisir à mon homme je suis toujours partante. Il m'arrive également de lui prendre des petits trucs pour le plaisir de mes yeux et il ne dit pas non pour les mettre. Même si cela lui coûte comme pour...

...ces ridicules strings en cuir !

(Passons sur l'effet stimulant d'un certain ridicule ! C'est un sujet à part entière.) Le plus dur à trouver ce fut la veste à écusson. Je n'avais pas vraiment envie de m'endimancher. Je voulais quelque chose ne manquant pas d'élégance. J'ai opté pour un blazer mode et j'ai acheté un écusson à part. Et voilà le tour joué pour un aspect trompe l’œil d'un authentique. Quant à la jupe plissée - pas trop courte toutefois  - et autant pour le chemisier blanc le choix ne manquait pas. J'avais décidé de soigner les détails. Alors j'ai pris aussi une petite cravate noire et un lot de culottes style petit bateau. Concernant ces dernières j'aime beaucoup l'effet sur un pubis dépourvu de poils. Cela donne un aspect en quelque sorte sage et impudique à la fois. Et comme j'ai pu constater par la suite, mon homme résiste difficilement la tentation de glisser ses doigts sous le fin coton. Et aussi de me caresser par dessus de la culotte. Enfin, restait le choix des chaussures et des bas. Hors de question pour moi de mettre de chaussures sans talons. Personnellement je ne me vois pas dans des ballerines. J'ai hésité pendant un long moment sur des bas-up avant « d'oser » les chaussettes longues. Blanches, cela va de soi et s’arrêtant en dessous du genoux selon les souhaits de mon homme. Pour moi, cela évoque un comble de ridicule sur une femme. Et pourtant je ne suis pas facilement à effrayer en matières de tenues. Pendant un moment j'avais compté sur le « bon goût de mon homme » et ses préférences pour les bas. Mais bon, une fois appris qu'il aimait s'extasier devant la nudité de me genoux, je me suis dit :

Pourquoi pas ? Après tout nous sommes dans un registre de punition.

Me voilà donc parfaitement équipée pour ma rentrée scolaire. J'ai essayé de me familiariser un peu avec cette tenue en absence de mon homme. Je sais qu'il a un faible pour le naturel, alors justement il faut de l’entraînement que cela paraisse vraiment naturel. Petite phase bénie de jolis rêveries. Le tout agrémenté par la présence de notre martinet. Je ne dirais pas que je sentais en mettant cette tenue un retour vers mon adolescence. Je n'ai pas vécu des châtiments corporels outre que dans mes fantaisies. Je n'ai pas été dans une institution privée qui préconise les uniformes pour les jeunes filles. Et je n'ai pas été une ado timide ou pudique envers les garçons. Ma nouvelle tenue ne correspondait à aucun élément de mon passé. Je m'étais donc préparée pour vivre autre chose. Du nouveau, tout compte fait.

Je n'ai pas attendu longtemps la bonne occasion pour passer à l'acte. Un retour de Monsieur après un déplacement de quelques jours. Il me passe un coup de fil pour m'annoncer l'heure exacte à laquelle il rentre en finissant par :

Pas de harcèlement ce soir. J'aimerais te voir dans une tenue apaisante, isabelle !

Bien sur mon chéri, tu fais bien de me le rappeler !

Intérieurement je suis pliée de rire. Il doit être sacrement claqué pour manifester un tel désir. Bon, je suis une petite dame disons ... très active... avec l'homme que j'aime. Notamment après une séparation de quelques jours. Étant d'une excellente humeur, je profite pour me préparer. Malheureusement mes cheveux sont trop courts pour une coiffure avec une tresse. Du maquillage oui, mais très discret. Puis j’attends en buvant mon café.

Que dire de nos retrouvailles ? Les yeux de mon chéri pétillent. Il me demande maintes fois de me tourner pour qu'il puisse me contempler sous toutes les coutures. Puis petit bonus, je lui fais voir l'effet de la jupette plissée qui se lève en me tournant et dévoilant ainsi ma culotte petit bateau. Ah comme il est facile parfois d'émerveiller un homme.

Contrairement à nos habitudes, retrouvailles vanille acrobatique, ce soir-là la fessée était au programme. C'était une évidence pour nous deux. Évidence qui n'avait pas besoin de faute, ni de prétexte. Envie d’entendre la sonorité de mes fesses. Pas besoin de martinet non plus. Parfois les choses les plus simples sont le plus agréables. Moi allongée sur les cuisses de mon homme, mon derrière en l'air. Tout nu, car ma petite culotte en coton est descendu autour de mes chevilles. Dans le feu de l'action elle n'y restera pas longtemps. J'ai tendance à gigoter fortement et ainsi me libérer aussi mes chevilles. Et quand mon postérieur affiche déjà un magnifique rouge, ma culotte se trouve par terre. Oubliée et abandonnée. Comme mes chaussures.

J'aime beaucoup le classicisme de la fessée à la main. La vigueur masculine qui s'exprime d'une manière fort pertinente. Plaisir de sentir le monsieur faire sa loi. Sensualité quand tu nous tiens. On comprend aisément pourquoi l'emploi du martinet s'impose pour les très grandes filles en cas de punition. Éviter une trop forte excitation sur le champs. Notamment quand c'est un monsieur aimé qui applique la punition. Dans ce cas, il y aura toujours cette agréable ambiguïté qui approche la fessée d'un pur acte charnel. Même sans suite « pénétrante ».

Quand Monsieur se sert de sa main, hors contexte de correction, j'aime beaucoup lui souffler des petits :

Plus fort s'il tu plaît !

Je sais bien à quel point cela augmente ses ardeurs. Et quant à moi, j'ai envie que cette fessée reste gravée dans dans mes fesses pendant des très longues heures. Qu'elle nécessite un bon coussin pour m'asseoir à la maison ou qu'elle me procure des terribles gigotements (encore!) quasi involontaires dans un lieu public, comme le bon restaurant après l'acte.

Ce soir-là nous ne sommes pas allés au restaurant. Nous avons profité pour une balade nocturne en amoureux. C'était en automne, mais il faisait encore bon. Car n'oublions pas que j'étais en jupettes avec mes jambes nues à partir du genoux. Une balade extrêmement romantique. C'est là que j'ai commencé à apprécier vraiment ma tenue. Elle est idéale pour se faire corriger et idéale pour faire prendre l'air à un popotin brûlant.

A suivre...

2 commentaires:

  1. Je connais bien l'amusement de l'invention d'une tenue de puni... Même si je ne peux vraiment pas dire que j'aime le shopping. Mais j'avoue que la fois où, sans rien dire à Constance, j'étais allé chercher des chaussettes montantes (de foot... c'était peut-être ce qui était le plus gênant dans tout cela) m'avait bien plu. Je suis tout à fait d'accord qu'une certaine vraisemblance vaut mieux que l'exagération de pas mal d'"uniformes" des vidéos de fessée, et la jupe ne doit pas être trop courte. En revanche, je comprends bien la préférence de ton homme pour les chaussettes plutôt que les bas.
    D'ailleurs, si on jouait à ça avec Constance, je pense bien qu'elle prendrait des ballerines, et je ne m'en serais pas plaint.
    Mais ce qu'il y a de frustrant pour moi, ce qu'il est vraiment difficile de trouver une tenue de puni pour un garçon qui puisse se porter dehors alors que ce n'est pas très compliqué pour les filles...

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  2. Je n'ai hélas pas ni les compétences, ni la talent de Constance pour pouvoir faire de la couture de tenues de puni ou de punie. Pour moi faire de la couture est déjà une punition en soi. Alors je me rattrape sur le shopping, les brocantes, friperies, foires de secours catholique, magasins de farces et attrapes etc. Heureusement j'ai pu échapper aux chaussettes de foot et je comprends bien le fait que tu sois gêné d'en acheter. Enfin les chaussettes longues pour dames se déclinent d'innombrables modelés. Les hautes qui arrivent à mi-cuisse, je les adore et j'aime en porter à la maison. Ce qui me gêne c'est particulièrement la coupe en dessous du genoux qui donne à mon goût un look d’adolescente attardée, de fille modèle caricaturale. Mais il suffit de sortir en tenue d'étudiante pour se rendre compte qu'elle passe très bien. Enfin nettement moins à mon âge actuel, mais je parle de plus d'une dizaine d'années en arrière. Effectivement une tenue de puni pour un garçon c'est du quasi introuvable en magasin. Par contre je ne veux pas savoir combien d'hommes aimeraient en mettre une. Ce fantasme semble à mes yeux autant pris que par les filles...

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