lundi 30 avril 2012

55 Rituel de discipline punitive (susceptible de plaire aux femmes)


Car ayant fait largement ses preuves dans le temps !

Cela date du milieu du 16ème siecle. J’avais déjà parlé ici du Frère Cornelius et de son ordre de discipline pour femmes. Il y a tous les ingrédients d’une « bonne punition » et mon imagination trouve dans cette étrange histoire une excellente nourriture.

Frère Cornelius me semble un « vicieux plutôt gentillet » (et encore, mérite-t-il vraiment cette appellation un peu péjorative ?), doté d’un sens de mise en scène et de belles paroles. Qui offre l’occasion pour satisfaire son besoin de punition de manière discrète et sans risque.  Largement de quoi pour faire rêver plus d’une.

Dupe ? Avez-vous dit dupe cher Monsieur ?

Allons, allons. Ne soyez pas naïf  en sous-estiment les dames à ce point ! Mais si vous étés bien gentil, je vous raconterai un de ces jours cette histoire d’un point de vue féminin.

…Cornelius donna rendez-vous à ses ouailles dans sa chambre de discipline qu'il avait mis en place chez une amie de confiance. Une fois la pénitente arrivée, l'hôtesse – avant de l’accompagner à la chambre de la discipline - lui donna une baguette en bois avec la consigne pour la prochaine fois, d’acheter un balai, de fabriquer des verges avec et de les apporter à chaque fois.

Corneille dit maintenant à la novice avec un air solennel:

Ma fille, pour recevoir au mieux cette sainte discipline et secret pénitence il faut d’abord dénuder votre corps. Par conséquent, je vous ordonne, d’enlever vos vêtements!

Les femmes obéirent presque immédiatement, et une fois toutes nues, elles furent obligées de lui tendre elle-même la baguette et lui demander humblement de châtier leur corps de pécheresse.

Puis Cornelius leur appliqua lentement un petit nombre de légers coups sans grande douleur, accompagné par des proverbes sur la flagellation en déclamant que le Dieu préfère l'humilité de celles qui se dénudent elles-mêmes, plutôt que la douleur de nombreux coups durs.

Source: Die Körperstrafen bei allen Völkern von der ältesten Zeit bis auf die Gegenwart; Dr Richard Wrede; 1898

(Punitions corporelles chez tous les peuple de l’époque la plus ancienne jusqu’au présent)

Texte  d'origine :

Wenn all das geschehen, bestellte Cornelius seine Beicht-
kinder in seine Disciplinkammer, die er bei einer vertrauten
Freundin eingerichtet hatte. Sobald die reuigen Frauen nun
dorthin kamen, gab ihnen die Wirtin eine Rute, mit der
Weisung, sie mit in die Disciplinkammer zu nehmen, zum
nächsten Mal aber selbst einen Besen zu kaufen, Ruten davon
zu machen und jedesmal eine mitzubringen.

Cornelius sagte nun in der Disciplinkammer zu der
Novize mit feierlicher Miene: Wohlan, meine Tochter, um
diese heilige Disciplin und geheime Poenitenz bequem zu
empfangen, müfst Ihr Euren Körper entblöfsen. Darum be-
fehle ich Euch, die Kleider auszuziehen! Die Frauen ge-
horchten meist sofort, und wenn sie nun nackt dastanden,
mufsten sie ihm die Rute selbst darreichen und ihn demütig-
lich bitten, ihren sündigen Körper zu züchtigen.

Cornelius gab ihnen nun langsam eine kleine Anzahl leichter Schläge,
die nicht sehr wehe thun sollten und führte dabei allerlei
Citate über das Geifseln an, insbesondere, dafs Gott die
Demut derjenigen, die sich selbst entblöfsen würden, lieber
habe, als die Schmerzen vieler harter Schläge. 

2 commentaires:

  1. "Dieu préfère l'humilité de celles qui se dénudent elles-mêmes, plutôt que la douleur de nombreux coups durs."

    Moui... C'est gentil, mais ça ne va pas sans une certaine frustration, non?
    (si ça ne fait pas assez mal, une fessée, ça ne sert à rien!)

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  2. Disons qu’en matière de fantasmes j’adapte le support très librement à ma manière en imaginant d’être reçue par un Frère Cornelius, mou ou énergique, peu importe. Avec l'arrière idée de confesser cette petite fantaisie pas chaste à mon homme qui pour sa part s’en charge de me remettre dans le bon chemin.

    Effectivement (en parlant du réel) pour moi aussi, si une fessée ne fait pas assez mal, elle ne sert à rien dans le sens que je ne retienne aucune satisfaction. Et pourtant je n’aime pas la douleur sur le coup…

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